1. 1709 - Les Cinq-Bois


    Datte: 18/01/2021, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, pénétratio, historique, entrecoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... Et d’après ce que j’entends presque chaque nuit, vous avez assurément bien acculé votre proie dans votre lit !
    — Acculé ma proie ? Oh, Père, c’est une image bien… hum… téméraire…
    
    Mon père devient écarlate :
    
    — C’est… c’est un terme de… de chasse !
    — Oui, je n’en disconviens point !
    — Ne me dites pas que vous faites tout ce tintamarre la nuit pour jouer à la morra ?
    
    Je souris, mon père me tend décidément la perche :
    
    — Ce serait plutôt au jeu de la mourre que nous jouons…
    
    L’auteur de mes jours lève les yeux au ciel, en même temps que sa canne enrubannée :
    
    — Puis-je avoir avec vous une discussion un tant soit peu sérieuse ?
    — Alors, je crains que ce ne soit pas aujourd’hui, car je viens de voir passer ma proie, ma biche plus précisément, à travers les carreaux de la fenêtre. Et pour mieux vous obéir, il serait intéressant que je puisse m’emparer de celle avec qui Dieu m’a uni.
    — Dieu, Dieu, c’est vite dit ! Vous semblez oublier que ce sont son père et moi qui avions eu l’idée de vous marier avec votre belle-sœur.
    — Une très brillante idée, j’en conviens !
    — Comme toujours venant de moi ! Et je crois me souvenir qu’à l’époque, vous n’étiez point trop chaud…
    — Maintenant, je suis devenu bouillant !
    
    Avisant un fauteuil, mon père s’assied dedans, puis me lance :
    
    — Allez mon fils, coursez votre biche comme vous dites ! Et n’oubliez pas de me faire des petits faons !
    — À vos ordres, Père !
    
    Et je sors en courant de la pièce. Il ne me faut pas bien ...
    ... longtemps pour capturer ma biche juste derrière un bosquet. Et je viens cueillir ma récompense sous ses jupons qui me sont largement acquis ! Et il ne me faut pas bien longtemps pour que, du bout de la langue, je fasse jouir ma coquine et insatiable épouse…
    
    --ooOoo--
    
    En ce milieu d’été, nous sommes partis depuis hier matin, et d’ici quelques heures, nous serons enfin arrivés chez mon ami Jean-Armand que je n’ai pas vu depuis un certain temps. J’ai demandé à ma femme de se vêtir assez simplement, car les robes trop amples se marient mal avec l’intérieur d’un carrosse. En bonne épouse, elle m’a obéi.
    
    — C’est vrai que c’est assez étroit…
    — Assez large pour que nous soyons assis l’un à côté de l’autre…
    — Auriez-vous une idée derrière la tête, mon époux ?
    — C’est-à-dire, chère épouse ?
    
    Du bout de son éventail, gracieusement, elle me désigne une certaine protubérance au sommet de mes chausses.
    
    — Je vois que vous ne perdez nullement la forme…
    — Avec vous, jamais !
    — Sans doute que je ne devrais pas vous le dire, mais… j’aime beaucoup voir que vous avez toujours la forme pour moi…
    — Tout le plaisir est pour moi !
    — Et aussi le mien…
    
    Un peu surpris, j’hésite entre faire comme si de rien n’était, ou de m’occuper sérieusement de ma chère et tendre femme. Était-ce une invitation déguisée, ou une simple constatation ? Je reste sage ou moins sage ? C’est un cahot de la route qui décide pour moi en nous jetant l’un sur l’autre.
    
    Je ne cherche pas à comprendre, je ...
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