1. 1709 - Les Cinq-Bois


    Datte: 18/01/2021, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, pénétratio, historique, entrecoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... où peut-elle mettre tout ça ?
    — Et vous n’avez encore rien vu !
    
    Soudain, il commence à pistonner furieusement sa femme ; elle se débat, mais elle le ne chasse pas. Il accentue ses terribles va-et-vient, sortant presque pour venir ensuite disparaître totalement. Henriette-Louise s’agrippe à la table, poussant des tas de petits cris désarticulés, subissant cet assaut impitoyable, les fesses bien tendues vers son tortionnaire.
    
    Puis elle se dresse à moitié, se fige…
    
    Elle explose, jouissant comme une petite folle, toujours pistonnée sans relâche par son mari qui, visiblement, éjacule en elle dans un grand râle bestial.
    
    Angeline et moi sommes assez impressionnés par cette sodomie très ardente ! Rivé dans sa femme, Jean-Armand reste immobile, sans doute pour bien ressentir sa présence en elle. C’est quelque chose que j’aime bien faire, moi aussi. Je retire ma main toute détrempée des lèvres moites d’Henriette-Louise. À ma grande surprise, ma femme s’en saisit pour lécher un de mes doigts. Comme visiblement elle aime, elle lèche mes autres doigts.
    
    Après un faible grognement, Jean-Armand se retire lentement des entrailles de sa femme qui reste prostrée sur la table, secouée par diverses vagues. Abandonnant ma main, fascinée, Angeline s’approche, mettant presque son nez sur la tige qui s’extirpe peu à peu du corps de sa nouvelle amie.
    
    À peine le gland est-il sorti qu’elle le capture dans sa bouche, le savourant comme un bonbon, saisissant la tige molle et poisseuse ...
    ... de ses deux mains, indifférente à la souillure de ses doigts. Jean-Armand se tourne alors vers moi et dit d’une voix hachée :
    
    — Ce n’est pas une catin que vous avez épousée, mais une remarquable putain ! Veillez bien sur elle ! Sinon, je vous l’enlève !
    — Je n’y manquerais pas !
    
    Envoûté, je regarde Angeline qui s’active toujours autour de sa nouvelle friandise. Puis me tournant vers la femme de mon hôte, je suis impressionné par l’ouverture béante qu’elle possède encore entre les fesses, d’où ruisselle un foutre qui dégouline suavement le long de ses cuisses puis de ses bas…
    
    Je me dis alors que ça ne fait que commencer !
    
    --ooOoo--
    
    Après, tout s’est enchaîné avec une facilité stupéfiante, une sorte de tourbillon des sens, nos femmes nues, ayant néanmoins gardé leurs bas, leurs rubans qu’il a fallu remettre plus d’une fois. J’ai pu goûter à la saveur onctueuse du fruit d’Henriette, tout comme Jean-Armand a pu le faire avec Angeline. J’ai pu couvrir deux corps de femmes de moult baisers, de caresses à la fois voluptueuses et insidieuses…
    
    Nous avons fait beaucoup d’agaceries entre nous, découvert petit à petit les autres corps, goûté, caressé, patiné, mordillé. Henriette a peut-être un physique de poupée quand elle est vêtue, mais c’est incontestablement une femme, une fois ses habits ôtés. Et c’est une bonne découverte pour moi. De son côté, Angeline ne semble pas se lasser de découvrir son nouveau et géant partenaire.
    
    À présent, nos femmes sont à quatre ...
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