1. 1709 - Les Cinq-Bois


    Datte: 18/01/2021, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, pénétratio, historique, entrecoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... de plus par la fenêtre. Je lui demande :
    
    — Vous n’avez toujours pas répondu à ma question… Elle est si… fragile et vous si fort.
    — Des fourreaux, il y en a trois, voire quatre. Je reconnais que son vase naturel n’est pas très adéquat, pour parler comme vous, François-Philippe. À mon grand étonnement, Henriette-Louise sait très bien se servir de sa bouche, mais ça reste limité en profondeur, même si c’est très bon. C’est un plaisir qu’elle me refuse rarement. Je suppose qu’il en est de même pour votre femme…
    — Bien raisonné, Jean-Armand ! Angeline est douée…
    — Nos femmes sont douées, mais je reconnais que j’aimerais pouvoir comparer leurs mérites respectifs…
    
    Je pose à nouveau ma main sur son épaule, tout en souriant :
    
    — Je vous reconnais bien là !
    — Vous n’avez pas dit non…
    — Je n’ai pas dit oui, non plus… Et le troisième fourreau ?
    
    Jean-Armand pose son front contre la vitre :
    
    — Si j’ai été étonné pour sa bouche, je dois avouer que j’ai été totalement stupéfait quant au troisième fourreau, le plus sombre !
    — Vous voulez dire qu’elle… absorbe tout ?
    — Oui… et avec une facilité déconcertante ! Je peux même me laisser aller à des cavalcades insensées, et ma pouliche adore ça !
    — C’est… c’est incroyable !
    — Oui, c’est incroyable, mais c’est la stricte vérité !
    
    Rêveur, je regarde mieux par la fenêtre :
    
    — Si je m’écoutais, je vous dirais que je demande à voir…
    — Demandez… demandez, mon cher François-Philippe… et vous n’avez pas dit non pour un ...
    ... comparatif…
    — En effet… pensez-vous que nos femmes seraient d’accord ?
    
    Les mains sur les hanches, il soupire :
    
    — Avec les femmes, nous les hommes, nous ne savons jamais rien…
    — Oui, je reconnais que l’étude des champignons offre beaucoup moins d’aléas que celle des femmes ! Et le quatrième fourreau ?
    — Il faut de la gorge pour cela, et nos femmes n’en ont pas assez…
    — Je vois à quoi vous faites allusion… mais elles ont néanmoins de quoi pallier nos plaisirs et désirs !
    — Je vous le concède, François-Philippe, mais j’aime la chair, la chair débordante…
    
    Étonné, je lui fais remarquer :
    
    — Je ne vous comprends plus, Jean-Armand ! Pourquoi avoir épousé une telle frêle jeune femme ? Votre épouse ressemble nettement plus à une délicate poupée qu’à une robuste tenancière dont vous étiez fort friand naguère !
    — Moi-même, je ne me comprends pas bien. Les extrêmes s’attirent, dit-on… Et peut-être que nos femmes se doivent d’être différentes de nos maîtresses…
    — Pourquoi donc ? Auriez-vous une maîtresse quelque part ?
    — Même pas ! Sauf bien sûr des filles à soldat quand je suis à la guerre, il faut bien du réconfort après avoir tranché, coupé, éviscéré, mousqueté à tout va !
    — J’en ai su quelque chose… Depuis, je préfère nettement l’étude des champignons et surtout les jupons et corsages de ma femme…
    
    Soudain, Jean-Armand reprend du poil de la bête :
    
    — J’ai une proposition à vous faire !
    — Je suis à votre écoute…
    — Je vous fais une démonstration du troisième fourreau ...
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