1. 1709 - Les Cinq-Bois


    Datte: 18/01/2021, Catégories: fh, ff, 2couples, couplus, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, pénétratio, historique, entrecoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... étroit tunnel. Les bougies jettent sur elles leur lueur blafarde, étirant les ombres de ses courbes si féminines, faisant luire ses lèvres entrouvertes.
    
    Je constate qu’Angeline commence doucement à décoller, je décide de la faire retomber un peu sur terre, la leçon étant loin d’être finie :
    
    — Angeline, passons à l’étape suivante, la fille à soldat ! J’explique le contexte : vous vivez de votre cul, vous êtes une petite traînée capable de faire n’importe quoi pour quelques sous. Avez-vous compris ?
    — Oui, cher professeur
    — Très bien, allons-y !
    
    Je me repositionne mieux, pour jouir du spectacle qu’elle va m’offrir. J’espère ardemment que je ne craquerai pas entre-temps, car ça promet d’être très excitant dans la dégradation ! Et je reconnais avoir une petite arrière-pensée, mais je tiens à vérifier les aptitudes de mon élève.
    
    — Maintenant, mettez-vous en appui sur vos bras et vos jambes, ventre en l’air, votre con bien dirigé vers moi, et déchaînez-vous sur mon vit afin qu’il vous perfore les entrailles.
    
    Docile, elle se positionne comme je le lui ai indiqué, sans s’évader de mon mandrin fermement rivé en elle. Une fois arrivée en bonne situation, elle constate :
    
    — Cette position est trop forte ! J’ai l’impression que vous allez me déchirer avec votre pieu et qu’il va transpercer mon ventre !
    — Mon pieu n’est pas assez grand pour que ça vous arrive, ne vous inquiétez pas. De plus, vous savez très bien que je ne veux que votre plaisir, loin de moi de vous ...
    ... mettre en danger.
    — Oui, je sais bien, mais ça me fait un peu peur !
    — La peur est un bon stimulant… Écartez un peu plus vos jambes, oui comme ça, que je puisse admirer votre fente afin de la câliner ou de la torturer à souhait !
    
    Admirable ! Ma femme est impudiquement ouverte à mes caprices, ses délicates lèvres intimes à ma portée. Je me fais un plaisir de jouer avec, d’abord doucement puis de plus en plus rudement. Durant ce temps, elle pivote lascivement autour du pieu qui la rive à moi. Je décide de franchir un premier pont :
    
    — Très bien, ma délicieuse estudiantine ! Passons à l’étape suivante !
    — Oui, cher professeur ! Votre élève est tout ouïe !
    
    J’arrête de jouer avec ses lèvres, pour mieux me caler sur les oreillers :
    
    — Remue mieux ton cul, petite vicieuse ! Je veux une vraie putain au bout de mon vit !
    — Bien, monsieur !
    — Je vais te défoncer le cul, ma biteuse ! Jusqu’à que ce qu’il se fende en deux ! C’est tout ce que mérite une chaudasse comme toi !
    — Humm, oui ! C’est tout ce que je mérite, moi qui ne suis qu’une sale petite garce !
    
    Angeline semble avoir compris les nouvelles règles du jeu. Je vais donc me faire un plaisir d’entamer la partie. Et une incroyable chevauchée commence, autant de mon fait que de l’ardeur qu’elle y met !
    
    Au bout d’un certain temps, je préfère lui demander de se retirer, car je crains que mon cinquième membre finisse par subir bien des mortifications, tant cette chevauchée est diabolique ! Ma femme ne s’est guère ...
«12...181920...39»