1709 - Les Cinq-Bois
Datte: 18/01/2021,
Catégories:
fh,
ff,
2couples,
couplus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
historique,
entrecoup,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... adorable catin qui sait indéniablement s’occuper d’une verge, et qui continue de la choyer après qu’elle se soit entièrement vidée !
J’adore le regard trouble qu’elle m’envoie, une fois qu’elle m’a ôté de sa bouche souillée, ses lèvres barbouillées de sperme, puis sa petite langue rose qui lèche voluptueusement les traces poisseuses…
Main dans la main, joyeusement, nous retournons au château. C’est alors que je réalise que ma femme ne m’a finalement pas parlé de son expérience matinale avec Toinette !
--ooOoo--
Le soir commence à tomber. Après le repas, nous devisons, Jean-Armand dans le petit salon quand soudain ma chère femme entre dans la pièce, l’air assez contrarié, ayant visiblement quelque chose à me dire. Me levant à moitié, je dis à mon hôte :
— Excusez-moi, je crois que mon épouse me réclame…
— Pas de souci, mon cher François-Philippe !
Je m’isole dans un coin reculé avec elle. Angeline me confie alors d’un air navré :
— Toinette a dû partir en urgence tout à l’heure, sa mère est au plus mal.
— Ah… ce sont des choses qui arrivent, vous savez…
— Oui, je sais, mais… enfin… j’aurais beaucoup aimé… d’autant que j’en avais pris l’initiative, et ça tombe à l’eau !
— Ce n’est pas tragique, ma chère épouse. Il y aura d’autres occasions.
— Oui, mais ça me gêne vis-à-vis de vous…
Délicatement, je l’attire à moi :
— N’ayez crainte ! Vous valez largement toutes les Toinette du monde !
— Merci, mon cher mari flatteur !
— Et si vous tenez ...
... vraiment à vous faire pardonner pour cet impondérable, alors soyez deux femmes cette nuit.
Elle prend un air pensif, un doigt sur les lèvres :
— Pourquoi pas, mon cher époux. Vous êtes si arrangeant…
— Pourquoi ne le serais-je pas ? Surtout avec vous !
Me penchant un peu plus, je dépose un preste baiser sur ses lèvres roses auquel elle répond avec une certaine ardeur. Après cette petite conversation, nous profitons de nos hôtes, nous parlons un peu de tout, nos femmes s’exercent parfois au clavecin, nous jouons un peu aux cartes avec de menus gages, dont le plus osé est un petit baiser entre Adeline et Henriette-Louise, répété trois fois, il est vrai. Je soupçonne mon ami d’avoir testé les bonnes dispositions de ma femme, mais n’ayant pas réussi à gagner, ce n’est jamais tombé sur lui. Pour ma part, je comprends qu’il semble y avoir une possibilité, mais pas tout de suite, du moins, pas ce soir.
Tardivement, nous prenons congé de nos hôtes après moult embrassades. Arrivée la première dans la chambre, Angeline me déclare sans complexe, une fois la porte fermée :
— Je pense qu’Henriette vaut largement Toinette, comme vous dites.
— À quoi devinez-vous ceci ?
— Vous les hommes, vous ne savez pas voir les petits signes. Sans compter les baisers des gages.
— Ce furent de simples baisers de gage, justement.
— Il y a la façon de les donner, mon cher époux !
Je ne réponds rien, pensif. Ça confirme ce que je pensais. J’aide ma femme à ôter son corset, d’autant qu’elle ...