1709 - Les Cinq-Bois
Datte: 18/01/2021,
Catégories:
fh,
ff,
2couples,
couplus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
historique,
entrecoup,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... reconnais que ce fut une belle expérience, trop bien réussie si j’en crois l’empressement d’Alexandre-Louis envers moi…
— De quoi vous plaignez-vous ? Vous faites tourner les têtes !
— Oui, mais Alexandre-Louis est peut-être gentil, mais lourd ! Voire même jaloux, ce qui est un comble pour un amant vis-à-vis de mon mari !
— Tout le monde n’a pas la chance de faire un vrai mariage d’amour…
Angeline rougit à ces mots, elle me surprendra toujours… Elle éclaircit sa voix avant de reprendre :
— Merci, François-Philippe… il est toujours très agréable de l’entendre dire…
— Quand je pense que nous aurions pu passer nos vies pas loin l’un de l’autre sans jamais avoir su que vous et moi…
— Un signe du Destin, comme je vous l’ai déjà signalé, même si ce fut aux dépens de votre défunt frère.
Je lui capture les mains :
— Tant pis pour lui, c’est malheureux pour lui, mais ce qui m’importe le plus, c’est vous et de faire votre bonheur !
— Vous êtes lyrique, François-Philippe ! Arrêtez, je vous prie, je ne vais plus savoir où me mettre !
— Aucun souci, vous vous mettrez dans mes bras !
Elle ne répond rien, elle se contente de poser sa délicate tête sur mon épaule. Nous restons quelques instants ainsi, sans rien dire, parmi les arbres qui bruissent.
C’est elle qui rompt le silence :
— Merci de m’adorer ainsi, mais revenons à nos moutons, et surtout à une bergère, une chambrière. Que pensez-vous de ma proposition : vous, Toinette et moi ?
— J’aimerais connaître ...
... les règles du jeu, chère Angeline…
— Les règles du jeu, comment ça ?
— Qu’est-ce qui m’est permis de faire, que ne voudriez-vous que je fasse à votre compagne de jeu ?
— Laissez-moi réfléchir, je vous dirai ça d’ici ce soir…
Je la serre très fort contre moi, à l’étouffer :
— Je vais être franc avec vous : je ne voudrais pas éveiller votre jalousie ou votre ressentiment, je ne désire pas vous perdre !
— Si… si vous continuez… comme ça… vous allez… être… veuf… Vous m’étouffez !
— Ah ! ? Pardon !
Je la relâche aussitôt, elle souffle, une main sur sa poitrine :
— Vous ne mesurez pas votre force, mon cher mari !
— Excusez-moi…
— Je suis très heureuse que vous songiez à moi ainsi, vous êtes un adorable mari et aussi un amant admirable !
— Vous me flattez, ma chère femme, élève et maîtresse !
Elle se lève, en souriant :
— Foin de toutes ces flatteries, allons-y, mon ami, rentrons…
— Flatteries ? Vous ne pensez pas ce que vous venez de dire ?
— Si, je pense sincèrement que je suis très bien tombée avec vous, et je désire que vous soyez fier de moi, et je m’emploierai à toujours vous satisfaire !
— Faites attention à ce que je ne vous prenne pas au pied de la lettre !
Elle rit doucement :
— Je sais… Et je vais vous le prouver, séance tenante !
— Comment ça, séance tenante ?
— Votre fameuse bosse va m’y aider, mon cher mari !
Et aussitôt, elle s’agenouille entre mes jambes, et avec dextérité, elle met à jour mon dur mandrin, celui qui s’occupe ...