1709 - Les Cinq-Bois
Datte: 18/01/2021,
Catégories:
fh,
ff,
2couples,
couplus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
historique,
entrecoup,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... défaits.
--ooOoo--
Laissant Angeline dans la chambre, je descends saluer nos hôtes. Me voyant seul, mon ami demande :
— Votre épouse n’est point avec vous ?
— Elle est encore un peu fatiguée du voyage d’hier, elle garde le lit ce matin, puis je pense qu’elle sera en pleine forme ensuite.
Henriette-Louise intervient, l’air chagriné :
— Dommage qu’Angeline soit alitée…
— Je vous rassure, vers midi, elle sera des nôtres. Mais elle n’est point du tout habituée aux longs voyages.
— Pensez-vous que je puisse tout à l’heure lui tenir compagnie ?
— Je crains que ce ne soit pas amusant pour vous : quand ma femme est fatiguée, elle dort à poings fermés, et même un tir de canon ne saurait la faire se lever !
Puis sur ces bonnes paroles, nous nous sommes entretenus de tout et de rien. Versailles fut souvent le centre de notre conversation. La situation politique n’étant pas des meilleures, nous avions quand même quelques inquiétudes pour l’avenir du Royaume. J’ai été surpris par la profondeur des réflexions d’Henriette-Louise. Qui a dit que le sexe faible était sans cervelle ? Jean-Armand avait fait un bon choix. Je me suis même demandé s’il ne faisait pas la même chose avec sa femme que moi je ne faisais avec la mienne…
Il faudra que je sonde le terrain auprès de mon ami. Car plus Henriette-Louise parlait, plus je me disais que je retrouvais des morceaux d’Angeline en elle.
Puis quittant momentanément mes hôtes, je me suis dirigé vers notre chambre, ...
... officiellement pour m’enquérir de la santé de ma femme. Arrivé sans bruit à la porte, j’ôte mon chapeau et je pose l’oreille sur le panneau laqué : des bruits incongrus, mais pas inconnus, retentissent !
J’en conclus que ma chère femme est arrivée à ses fins. Mais je serais fort aise de pouvoir voir ça de mes yeux. Hélas, j’ai promis de ne pas entrer la déranger en pleine action. C’est alors que je songe au balcon de notre chambre. J’avise la fenêtre la plus proche que j’ouvre aussitôt sans bruit. Environ dix pieds me séparent du balcon désiré. Je baisse la tête ; il y a une corniche d’à peine un pied de large. J’aurais aimé plus, mais il faut savoir se contenter de ce qu’on a sous la main, ou plutôt sous le pied !
Avec précaution, plaqué contre le mur, mon chapeau entre les dents, je progresse vers le balcon. J’espère ne pas tomber. J’espère aussi ne pas être surpris dans cette position par nos hôtes ! Peu après, j’enjambe le parapet du balcon convoité, puis m’accroupissant, je remets mon chapeau puis je jette un coup d’œil dans la chambre. Je ne vois rien ; il me faut changer d’endroit. C’est à quatre pattes que je change de côté. Ah ma chère coquine de femme, que me faites-vous faire !
Je jette à nouveau un coup d’œil dans la chambre et je découvre deux corps féminins dénudés dans le lit. Je reconnais sans problème celui de ma femme ; je suis assez surpris des courbes de son amante : ma femme a décidément un bon coup d’œil. Je n’aurais pas supposé que cette Toinette fut si ...