1. 38 - Samia et le syndicat.


    Datte: 16/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Mia-michael, Source: Hds

    ... offerte, là. Mais lui me dit :
    
    — Donne-moi ta culotte.
    
    Elle est sur mes chevilles, je l’enlève pour lui donner. Il me laisse un bon moment comme ça, ma culotte en main, comme tout à l’heure quand je lui tendais la main. Il finit par la prendre et la met dans la poche de poitrine de sa salopette, avec un bout qui dépasse. Il me dit :
    
    — Quand tu viendras me voir, je veux que tu n’aies pas de culotte, c’est...
    
    Je suggère :
    
    — Symbolique ?
    
    — Exactement ! Bravo, tu es peut-être moins conne que tu en as l’air. C’est vrai que tu es Rom, pas le produit des industriels du Nord, qui pratique les mariages consanguins.
    
    Mais qu’est-ce qu’il raconte ? Il ajoute :
    
    — Pourquoi symbolique ?
    
    — ... Euh... parce que je représente le patronat qui se déculotte devant les syndicats.
    
    — Bravo, petite... Le symbole suivant, c’est le patronat qui se fait enculer par les syndicats, non ?
    
    — Oui, Monsieur Max...
    
    — Alors grimpe sur cette banquette et présente-moi ton trou du cul.
    
    C’est bien un syndicaliste : beaucoup de bla-bla avant qu’il ne se décide à passer à l’action. Je me mets à genoux sur la vieille banquette, en écartant bien les cuisses... Alors ? Ça vient ? Je contracte mon anus comme si je lui faisais un clin d’œil... Il me dit :
    
    — Réflexion faite... je ne vais pas t’enculer aujourd’hui. Je ne le sens pas bien. Alors, tu vas te mettre à genoux et me sucer la bite.
    
    Salaud ! Tout ça pour m’humilier... Oh ! Je sens qu’il va bien me faire chier le ...
    ... syndicaliste à deux balles ! Bon, je serre les fesses et me mets à genoux. Ma chatte, qui entretient des relations très étroites avec mon cul, est verte de rage. J’en peux rien, moi, hein ! À genoux, je prends le sexe de Max en main. Il a une belle taille, ce qui enrage encore plus ma chatte. Je tire sur la peau pour découvrir le gland qui est très mouillé, preuve qu’il prend déjà son pied... en jouant avec les miens. Je suce en pressant ses couilles d’une main.
    
    Il me pose sa main sur ma tête et me fait accélérer en disant :
    
    — J’ai beaucoup de boulot et je ne peux pas perdre trop de temps à me faire sucer... alors prépare-toi à avaler mon sperme maintenant. Ensuite, tu feras la même chose avec mes revendications.
    
    Il faut rire ? Non, c’est con. Soit il jouit sur commande, soit c’est un éjaculateur précoce, parce que quelques minutes plus tard, des saccades de spermes envahissent ma bouche. J’avale comme une grande, son sperme et mon amertume. Il me dit :
    
    — Bien, ça n’a pas trop duré. J’attends des camarades, tu peux disposer.
    
    Je lui dis :
    
    — Je reviendrai demain matin et...
    
    — Tu ne me trouveras pas ici. Dégage maintenant.
    
    — D’accord, à vendredi matin, Monsieur Max.
    
    — C’est ça... et n’attrape pas froid... à la chatte.
    
    Trop drôle ! Je repars dans les couloirs, nue sous ma jupe et bien frustrée. Je ne cherchais pas à me faire baiser, au départ, mais ma chatte y a cru et elle déteste les fausses promesses !
    
    Est-ce que mon beau père savait que ça allait se ...
«1234...»