1. 38 - Samia et le syndicat.


    Datte: 16/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Mia-michael, Source: Hds

    Mais je le veux, ce boulot ! Travailler juste le matin, ça me convient super bien. Sortir et aller dans des grands restaurants et des boîtes de nuit, aussi... Il y a un temps pour faire sa tête de cochon et un temps pour se déculotter. Et puis, son sexe a laissé un gros regret du côté de mes fesses. Alors, je lui dis :
    
    — J’aimerais beaucoup que vous me fassiez visiter l’atelier, Monsieur Max...
    
    Il me regarde en souriant, sans répondre. Alors, j’ajoute :
    
    — S’il vous plaît.
    
    — D’accord, venez.
    
    Putain, ma réputation ! Les ouvrières chuchotent entre elles. Qu’est-ce que j’aurais dû faire ? Il bluffe peut-être... ou pas. Il marche rapidement en m’expliquant le fonctionnement des différentes machines, je n’y comprends rien. Je retiens qu’au départ, il y a de la laine, du lin, du chanvre (des vêtements pour planer ?) et à l’arrivée, il y a des grosses bobines de fil et des tissus. Si on était il y a quelques siècles, le rouet, je comprendrais... enfin, peut-être. Je finis par lui dire d’une voix plus plaintive que je ne le voudrais :
    
    — Vous marchez trop vite, Monsieur Max, et puis je ne comprends rien.
    
    Il s’arrête et me regarde dans les yeux. Moi, je les baisse aussitôt. Oui, c’est con, mais il a des yeux... inquisiteurs ! Il me dit :
    
    — Un problème de concentration, Madame de Préville ? Vous voulez qu’on passe à l’étape suivante ?
    
    C’est celle où il me baise ? Bah, puisque ça doit quand même arriver... Je réponds :
    
    — Oui, je voudrais que nous ayons de ...
    ... bons rapports et que vous soyez plus compréhensif et plus gentil avec moi.
    
    Il rigole, avant de me répondre :
    
    — D’accord, suivez-moi...
    
    On prend encore plusieurs couloirs (c’est un labyrinthe, cette usine !) et on arrive dans une petite pièce dans laquelle il y a deux banquettes de camion pour s’asseoir, une longue table et huit chaises, un frigo et un lit. Il me dit :
    
    — C’est ici que les camarades et moi, on met au point des stratégies pour protéger les ouvriers de cette usine. C’est aussi ici qu’on baise les petites salopes qui ont le feu au cul ou qui ont besoin de protection. Toi, c’est les deux, non ?
    
    Il passe tout le temps du vouvoiement au tutoiement, c’est assez déstabilisant. Je réponds :
    
    — Il est pas très glamour votre nid d’amour, Monsieur Max.
    
    — Pas assez bien pour une Comtesse ? Parce que c’est ce que tu es, non ? Comment il baise, le fils du patron ? Il a la réputation d’avoir une pine d’escargot.
    
    Je souris malgré moi. J’ai envie de répondre "C’est pas gentil pour les escargots !" Max me dit :
    
    — Déshabille-toi.
    
    Je me dis une fois de plus "Mais comment je peux me retrouver dans ce genre de situation aussi vite ?". J'enlève ma robe, puis je descends ma culotte.
    
    Tant qu’à faire, autant lui donner du spectacle... Donc je me retourne et je me cambre. Je sais que je peux compter sur mes fesses pour me donner un coup de main avec les hommes. J’imagine mes fesses avec deux petites mains potelées. Bon qu’est-ce qu’il attend... je suis ...
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