1. Marie et le sculpteur aveugle (8)


    Datte: 15/01/2021, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory

    ... bus, il y a un couple de veilles femmes à gauche et un homme bien habillé à droite, genre homme d’affaire »
    
    « Quel âge ? »
    
    « Je dirais, la quarantaine »
    
    « Et sur les bancs latéraux qui leur font face »
    
    « Sur la gauche en face des vieilles dames, y’a une jeune fille à lunette, une étudiante je dirais ; de l’autre côté, en face de « l’homme d’affaires », y’a un vieux Monsieur et un jeune, un étudiant aussi on dirait »
    
    « Avance et mets-toi face aux sièges de ces 3 hommes et tiens-toi aux poignées au plafond. Je reste derrière toi en te tenant et pour te cacher des autres passagers »
    
    « Mais ? Quoi ? Me cacher ? Pourquoi ? »
    
    « Fais ce que je te dis »
    
    Je m‘exécute les sourcils froncés en me demandant à quoi tout ça rime.
    
    Je saisis une poignée avec la main droite et garde l’autre pour me couvrir mon corsage largement trop ouvert.
    
    « Qu’est-ce que je t’ai dit ? »
    
    « De quoi ? » je fais surprise.
    
    « Je t’ai dit de saisir les poignées au plafond, elles sont distantes d’un mètre normalement »
    
    « Avec les deux mains ? Mais une seule me suffit Prof ; en plus… »
    
    « En plus quoi ? »
    
    Je lui souffle dans l’oreille : « En plus, mon corsage ne ferme pas bien. Quelqu’un a coupé les boutons du haut et je vous rappelle que je n’ai pas de soutien-gorge »
    
    « Parfait ! Alors obéis »
    
    Ma parole, le Prof se transforme en maître ! Mais où veut-il en venir ??
    
    Je frémis à l’idée d’exposer mes attributs à des inconnus mais m’exécute mécaniquement en levant ...
    ... les deux bras en l’air et en V pour pouvoir saisir les deux poignées assez distantes.
    
    Mon corsage remonte tellement qu’il sort de ma jupe, découvrant ma peau au niveau des hanches et du ventre jusqu’au nombril.
    
    Quant à ma poitrine, elle valdingue dans tous les sens au gré des soubresauts du bus et manque de se déverser à la vue de tous, à peine retenue par le corsage tendu comme un arc.
    
    Le vieux est absorbé dans son journal et le jeune écoute de la musique les yeux fermés avec un de ces nouveaux appareils qu’on appelle Walkman. L’homme d’affaires, par contre a levé la tête et ses yeux brillants fixent mes seins emprisonnés sous le tissu hypertendu et qui tressautent devant lui.
    
    Comme un garçon bien élevé, il remonte ses lunettes sur son nez et détourne le regard embarrassé.
    
    Je rougis tandis que soudain, Lucien qui est collé derrière moi passe ses mains sous mon corsage, à même la peau et vient englober mes seins !
    
    Je suis stupéfaite par son audace en public et regarde ses doigts bouger sous le tissu et se mouvoir jusqu’à mes tétons !
    
    Je ne comprends pas comment il a pu passer ses mains avec autant de facilité lorsque, en me penchant sur le côté, je m’aperçois que le corsage est pourvu de fentes sciemment découpées avec soin, le tissu recouvrant les ouvertures pour les cacher.
    
    « Qu’est-ce que tu as ? Tu es mal à l’aise ? Pourtant j’ai cru comprendre que tu aimais prendre les transports en commun… »
    
    Alain ! Quel salopiot ! Non seulement il a saboté mon ...
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