Marie et le sculpteur aveugle (8)
Datte: 15/01/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: catchme, Source: Xstory
... corsage mais il a tout raconté au Prof !
Cette sortie en bus était convenue entre-deux ma parole ??
Je vais pour lui demander de retirer ses mains lorsqu’il me souffle dans l’oreille…
« Marie, je ne l’aurais pas cru possible, mais tu es la première femme depuis mon amour perdu qui me rend fou à ce point.
Dès le premier jour, j’ai eu une drôle d’impression. Non seulement ton corps est parfait, mince, cependant tout en rondeurs appétissantes, mais en plus tu pétilles, tu es vive, intelligente, douce, obéissante, patiente, et…tu aimes le sexe et tu es ouverte au monde, à la vie comme aucune autre femme… à part celle que j’ai aimée et dont tu me rappelles bien des qualités. L’autre jour, lorsque Manuel, Alain et mon frère profitaient de toi alors que je te sculptais, je n’ai pas pu résister. Pardonne-moi. Cela faisait plusieurs séances que tu exacerbais mon excitation à un point que tu ne peux même pas imaginer. Lorsque tu as sculpté mon sexe… je puis t’assurer que je n’avais pas joui de la sorte depuis la nuit des temps. Voilà. Maintenant, tu es comme une drogue pour moi, une drogue sexuelle et je ne peux plus cesser de te palper, de te toucher… et je voulais vérifier la théorie d’Alain et t’exposer en public…pour voir »
Et sur cette diatribe inattendue, il joint le geste à la parole et me triture les tétons dans tous les sens.
Sa déclaration d’amour est si sincère et forte que j’en suis toute émue et reste quoi.
Je me sens fondre comme un glaçon au ...
... soleil et l’excitation m’envahit soudainement alors que sous ses tripotages incessants, mes tétons deviennent tout dur. Je gémis doucement et le vieux lève la tête de son journal.
Il reste bouche bée et laisse tomber sa feuille de chou.
L’homme d’affaires m’observe à nouveau et pique un fard mais ne détourne plus son regard ; il ne loupe rien.
Je m’accroche aux poignées et me tortille sous les caresses insupportables des mains du Prof.
Ses doigts poussent tellement sur le tissu que je crains le pire au niveau du bouton soumis à une pression énorme.
Le jeune, intrigué par ses voisins qui regardent dans la même direction, fait de même et enlève immédiatement ses écouteurs pour se concentrer sur ce spectacle émoustillant et insolite.
« P…Prof…on nous regarde… » je lâche dans un gémissement.
« Tant mieux, dis-moi ce qu’ils font »
« Ils…ils nous regardent... ils regardent vos mains qui me pelotent ! »
« On va leur en montrer plus »
Je vacille « Quoi ??! »
Et sur ce, il pousse tellement fort sur le tissu que le bouton finit par craquer…Il saute comme un bouchon et s’envole au loin comme catapulté !
Le corsage s’ouvre en grand et désormais, seules ses mains cachent mes seins !
Sans lâcher les poignées, je regarde affolée ma poitrine nue à peine cachée par ses grosses mains qu’ils pourraient retirer à tout moment…
Les trois hommes ont la mâchoire qui descend d’un cran.
Ma jupette accompagne les soubresauts du bus en virevoltant sous leurs ...