1. Pas de seconde chance


    Datte: 13/01/2021, Catégories: f, fh, inconnu, campagne, froid, douche, amour, Masturbation entreseins, nopéné, occasion, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... continuer. Elle finit par prendre ma tête entre ses mains, pour diriger mes lèvres vers l’autre téton. Elle s’offre voluptueusement à mes caresses, s’entrouvre, n’étouffe pas le fragile désir, vient au-devant du mien, sans s’opposer à la valeur symbolique de mon geste.
    
    Cette forme d’intimité me fait démarrer au quart de tour. Je ne peux me retenir de bander, le membre rapidement à l’étroit contre sa cuisse. Je m’excuse vaguement pour l’incongruité de la situation. Elle m’octroie son pardon en m’embrassant à pleine bouche, longuement, profondément.
    
    Puis elle se met à caresser mon sexe avec une dextérité inattendue. À ce stade, ce n’est d’ailleurs plus un sexe, mais une tige. Non, une queue qui palpite. Sa caresse se fait de plus en plus précise. Véronique a un don incomparable pour donner du plaisir de cette manière. Ses doigts glissent exactement là où j’ai envie de les sentir, pressent l’engin de la plus parfaite manière, vont et viennent au rythme attendu, indispensable. Celui qui me fait décoller en quelques minutes, sans espoir de retour.
    
    D’un tour de main, elle inhibe toute envie de rester raisonnable. Je sens aux ondulations de son corps contre le mien qu’elle prend plaisir à me branler et en attend le débordement avec impatience. Aux secousses de mon ventre trop agréablement malmené répondent les mouvements de son bassin contre ma cuisse. D’une certaine manière, elle me prend en elle et partage ce qu’elle m’offre avec un plaisir non dissimulé.
    
    Je ne vais ...
    ... plus pouvoir résister très longtemps. Me laisser aller me semble parfaitement déplacé, mais je ne suis déjà plus maître de mon plaisir.
    
    — Véronique !
    — Je sais. Laisse-toi aller !
    
    Sans cesser de m’exciter, elle descend le long de mon ventre et pose ma queue contre ses seins. Je craque lorsqu’elle renverse sa tête en arrière et me demande de me lâcher sur elle.
    
    L’orgasme est d’autant plus intense qu’elle accompagne chaque spasme, chaque giclée d’attouchements infernaux. Son cou et le bas de son visage sont rapidement inondés de mon sperme, dont elle enduit ses doigts et ses seins. Dans la pénombre, je peux la voir sourire, satisfaite de son ascendant sur moi.
    
    Comme pour parachever cette communion impie, elle me fait goûter sur ses doigts ce qu’elle suce comme une friandise. Je préfère lécher ses lèvres poisseuses de mon jus.
    
    Lorsque mon ventre finit par se calmer, elle se glisse entre mes bras et me serre contre elle, les mains bien à plat contre mes fesses.
    
    — Alors, mission impossible ?
    
    Nous nous endormons avant d’avoir retrouvé assez de force pour débattre de cette question existentielle.
    
    Le lendemain matin, nous déjeunons de bon appétit, avant de reprendre la route. Même si nous savons que cette aventure va se terminer dans quelques heures, nous ne cherchons pas à retenir les gestes de tendresse qui nous viennent spontanément.
    
    Le voyage de retour se passe sur un mode plutôt pensif. Je sens que Véronique se pose à nouveau plein de questions sur ses ...