1. Pas de seconde chance


    Datte: 13/01/2021, Catégories: f, fh, inconnu, campagne, froid, douche, amour, Masturbation entreseins, nopéné, occasion, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... tout, elle me reproche une soudaine envie de se caresser.
    — Je ne me caresse pas, je reconnecte mon ventre et ma tête !
    — Et ça fonctionne ?
    — Viens là, et tu verras toi-même, murmure-t-elle la voix un poil plus rauque.
    — Tu as remarqué tout à l’heure que je suis un mec assez fragile, sur certains points…
    — J’ai même apprécié à sa juste valeur, oui.
    
    Je la rejoins au chaud. Elle me prend entre ses bras, caresse mon visage, mon torse, puis m’embrasse légèrement sur la bouche. Finalement, après avoir précisé n’en avoir plus pour très longtemps, elle me tourne le dos, glisse ses fesses contre mon bas-ventre, et s’offre le plaisir qu’elle recherchait avant que j’intervienne. J’ai posé mes mains sur ses seins pour l’accompagner de mon mieux. Son orgasme est discret, mais la chaleur que dégage son corps laisse supposer que la « reconnexion entre son ventre et sa tête » est intense.
    
    Peu de temps après, elle me fait à nouveau face, avec une moue de petite fille prise en faute.
    
    — Pas trop frustré ?
    — Non, c’est bon de partager une telle envie tout contre toi. Nos corps se mélangent agréablement
    — C’est vrai ça, c’est tout fluide entre nous. C’est ce qui m’a donné envie de plein de trucs agréables avec toi tout à l’heure. Je n’avais pas décollé aussi vite depuis longtemps.
    — Quel genre de truc, si tu veux bien me mettre dans la confidence ?
    — Pour commencer, masser tes fesses. Longuement, à pleines mains. Après, glisser une main entre tes cuisses et m’emparer de ...
    ... tes boules. Pis, tant que j’y arrive encore d’une seule main, de ton sexe. J’adore accompagner le réveil de la bête.
    — Bête, sexe, des mots bien neutres pour un désir naissant, non ?
    — Au contraire, à ce stade de la découverte c’est un sexe, pas encore une queue ou une tige. Un sexe plein de promesses qui fait monter des trucs délicieux le long de mon échine.
    — Jamais de bite dans ton bestiaire érotique ?
    — J’aime pas trop le mot. Je préfère l’idée de sève ou de sang qui circule, qui fait gonfler, se tendre, réagir aux effleurements. Il y aussi l’idée de pulsations, de spasmes jouissifs. La bite n’a pas de vie propre, c’est juste un objet de plaisir. La queue, la tige ou la bête, en revanche, évoquent l’audace de jeux érotiques raffinés.
    — Continue, tu m’ouvre des horizons inattendus…
    — À ce stade, si l’effet que je fais sur le monsieur suffit à me rassurer, j’aime bien laisser glisser les choses et prendre le temps de répondre à ses envies.
    — Et s’il n’en a pas de très originales ?
    — J’invoque Lilith ! Elle ne m’a jamais laissée tomber.
    
    Que répondre à cela ? D’autant qu’à ce stade de nos caresses, ma tête se trouve sur sa poitrine. Je prends ses seins dans mes mains et les masse. Ils sont tendus, j’ai peur de lui faire mal. Je préfère les lécher.
    
    Peu à peu, une envie plus précise monte en moi. Je prends un bout dur et savoureux entre mes lèvres et le tète, doucement d’abord, puis plus explicitement. Véronique gémit, se met à respirer plus fort, mais me laisse ...