1. Le redressement fiscal


    Datte: 12/01/2021, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... vient m’y rejoindre, la place est exiguë pour deux. Il entreprend de me savonner énergiquement, et mes seins rougissent sous ses mains énergiques ; je m’occupe de nettoyer son service trois pièces avec plus de douceur, et constate que Monsieur se cabre et grogne chaque fois que mes ongles effleurent la vallée entre ses bourses et son anus. J’ai trouvé son point G ! Nous nous séchons l’un l’autre, puis il me prend dans ses bras et me dépose, telle une mariée pour sa nuit de noce, sur le lit. Il se couche sur le côté ; nous sommes face à face. Il me sourit, me regarde. Il est beau… Prenant son membre, maintenant ragaillardi entre ses doigts, il le pose contre mes lèvres intimes et s’immobilise. Je sens son cœur qui bat tout au bout de son sexe. Puis, avec une infinie douceur, millimètre par millimètre, il se glisse en moi… La manière dont il sait alterner force et tendresse, sévérité et suavité, me rend folle, et j’ai toutes les peines du monde à ne pas lancer mon bassin en avant pour l’engloutir en entier. Lorsque je le sens buter contre mon utérus, lentement mais profondément, je contracte mes lèvres autour de son pieu. Il gémit, il aime ça, et avec une douce indolence, il se remue en moi. Le plaisir me submerge, à la fois identique et différent de notre séance en levrette du salon. Je m’endors dans ses bras, son sexe dans mon sexe.
    
    Lorsque je me réveille, au beau milieu de la nuit, mon amant dort d’un souffle régulier. Mes ongles lui frôlent les tétons, qui paraissent ...
    ... deux petites perles. Je glisse la main sous ses bourses ; elles ont lourdes et pleines de vie, et j’imagine les millions de petits spermatozoïdes qui s’y agitent, prêts à jaillir. J’effleure son point faible, et je vois immédiatement son mandrin réagir. Éternel mystère de l’anatomie masculine, que la magie transforme d’un petit appendice flasque en orgueilleux totem ! J’en profite pour l’enjamber et, le chevauchant, lui donne pour la première fois mon tempo à moi.
    
    Une claque assez appuyée sur ma fesse me réveille, le lendemain main. Monsieur, tout habillé, me réclame un café. Je me lève, il me dit de rester nue. La glace me renvoie une horrible image d’une gourgandine dont les cernes trahissent les excès de la nuit. Il prend son café, et avale avec appétit les toasts que je lui ai préparés, me flattant à tour de rôle un sein, une hanche, une fesse comme un maquignon une pouliche lui appartenant. Puis il me quitte – j’ai droit à un léger baiser – pour aller chercher sa femme à la gare.
    
    Le week-end s’écoule, j’ai la tête comme la chatte : béante et vide ! Au bureau, le lundi, retrouvant la place que je ne voulais pas lui laisser, j’ai la même impression.
    
    Quinze jours plus tard…
    
    J’ai été convoquée par mon boss, qui m’a accusée de « ne pas avoir joué le jeu » qu’il m’avait assigné. Je ne lui ai pas répondu qu’il me semblait l’avoir fait au-delà de ce qui était prévu. Le redressement porterait, semble-t-il, sur plusieurs centaines de milliers d’euros, et j’ai été mutée ...
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