1. Le redressement fiscal


    Datte: 12/01/2021, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... ainsi, je me ferais violer au premier coin de rue ! Le décolleté en V dévoile presque la moitié de mes seins, et le bas de la robe révèle très haut mes cuisses. Je n’arrive pas à trouver de soutien-gorge suffisamment échancré pour s’accorder à ma tenue – bien que ce soit la mode, je déteste montrer leurs bretelles – et décide de m’en passer. Dessous, le connaissant, je choisis un porte-jarretelles et des bas à couture noire, j’hésite pour la culotte, et fais là aussi l’impasse. Mon image dans la glace me surprend, et à chaque pas de danse que j’esquive, la lisière de mes bas apparaît. Je crois que je n’ai jamais été aussi sexy. Je mets le bar au four et, au bout d’un moment, il sonne. Je lui ouvre, il est là, dissimulé sous un énorme bouquet de magnifiques roses rouges !
    
    Il entre, je lui prends le bouquet, il me regarde, souriant, de ses merveilleux yeux bleus. J’esquisse une révérence, fais quelques pas de danse, sans me soucier de ce que je lui dévoile, et me réfugie dans ses bras. Il m’écrase contre son torse, pose ses lèvres sur les miennes, m’investit de sa langue. Tout tourne autour de moi, je me retiens à lui, il me porte dans ses bras, me dépose sur le sofa. J’ai un sein qui est sorti de ma robe, qui laisse mon ventre à nu… Il se recule, me regarde à nouveau… Je remonte ma jupe, au-dessus de mon nombril, m’ouvrant pour lui montrer les secrets de mon intimité.
    
    Il s’approche, s’agenouille, pose un langoureux baiser sur mon mont de Vénus. Je sursaute, je me sens ...
    ... littéralement fondre. Il fait entièrement glisser ma robe vers le haut, sans interrompre son baiser, me soulève pour l’aider à passer mes seins et ma tête. Jouant d’une main avec l’élastique de mon porte-jarretelles, il me triture un téton de l’autre. Sa langue se faufile dans ma grotte secrète, essuyant mes parois, titillant mon bouton. Je resserre sa tête entre mes cuisses, agite désespérément les hanches, et sens une lame de fond qui me soulève le bassin vers lui. Je crie fort mon bonheur.
    
    En reprenant conscience, je le retrouve, me regardant, le menton ruisselant de mes sucs intimes. Je me soulève et lui fais un baiser « cinéma », mais cette fois c’est ma langue qui rentre en lui comme un petit sexe d’homme. Puis ma main part explorer son corps, glisse sous sa chemisette, lui pince les tétons, en ouvre ses boutons. La boucle de sa ceinture est une formalité, et j’entre en contact, par la fente du boxer, avec la fameuse baguette magique de Merlin l’Enchanteur. Quand je dis baguette, ce serait plutôt pieu. Je le sors du recoin qui le comprime trop. Il est beau, dur, tendu, orgueilleux, avec de grosses veines bleues qui contraste avec sa peau, presque transparente, à la peau délicate. Au bout, son champignon est bien rouge, agressif, et une petite goutte nacrée perle de son petit trou. Mes lèvres se rapprochent, je lape cette rosée. Mes doigts courent le long de cette tige victorieuse, que je lèche puis engloutis dans ma gorge accueillante. Il a posé ses mains sur ma tête, ...
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