1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°964)


    Datte: 12/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... qu’il me besogna la chatte au rythme des coups qui tombaient sur le dos, le cul et les jambes de Zao. Comme si le Châtelain s’en était rendu compte, Il ajusta la cadence, et le dernier coup tomba au moment où le facteur sortie Sa queue de ma grotte pour m’éjaculer sur le dos en des jets de spermes chauds. Le Maître détacha la cuisinière et la renvoya s’occuper du déjeuner, tandis que le facteur commençait à me remercier.
    
    - Ce n’est pas Ma chienne qu’il faut remercier, mon cher ! Elle ne fait qu’obéir aveuglément aux ordres que je lui donne !
    
    - Je m’excuse Monsieur, et vous remercie de m’avoir prêté Votre chienne. Bon sang ce que c’était bon !
    
    - Je vous en prie. Mais sachez tout de même, pour information, que l’on ne s’excuse jamais à soi-même !
    
    - Je m’ex… je Vous prie de m’excuser alors ! Bon il faut que je reparte. Mais j’espère que je verrai souvent des invités tels que Vous ici quand je devrais m’y arrêter ! Ne Vous inquiétez pas, je ne dirais pas à Monsieur Wangdak comment Vous vous occupez quand il est absent. Bien le bonjour !
    
    Et il sortit. Le ...
    ... Maître laissa éclater Son rire à la dernière réflexion du facteur, se disant « s’il savait ! »… Peu de temps après, le déjeuner fut servi. J’eus droit à nouveau à avoir ma gamelle posée à Ses pieds et j’y mangeai avec bonheur. Le reste de la journée fut calme. Nous passâmes beaucoup de temps à travailler. Mais régulièrement, je servais de vide-couilles à Monsieur le Marquis soit à son bureau ou d’urinoir, soit dans la salle de bains afin de laisser le trop plein d’urine sortant de ma bouche s’évacuer dans la douche à l’italienne… Nous fîmes deux promenades dans les jardins, et à chaque fois, Il s’asseyait une demi-heure sur un des nombreux bancs en forme de phallus creux, et Il semblait méditer. Pendant ce temps, j’avais droit à me coucher en chien de fusil à Ses pieds. Et ce fut pour moi des moments intenses de bonheur. Je ressentais puissamment mon appartenance à Monsieur le Marquis d’Evans et un bien être indescriptible me saisissait, me faisant Lui rendre grâce silencieusement pour la chance et l’honneur qu’Il m’avait fait de me prendre sous Son joug…
    
    (A suivre…) 
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