1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°964)


    Datte: 12/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... en gardant la tête légèrement penchée pour ne jamais avoir à croiser Son regard. Je Lui mis Sa cravate autour du cou, et fit le nœud comme mon père me l’avait appris quand j’étais jeune. Dès que j’eus fini, je me reculais de deux pas et repris la position d’attente. Le Maître se rassit, prit le journal et se mit à lire tranquillement, m’ignorant.
    
    Environ une heure plus tard, Il fit appeler la cuisinière. Il lui précisa qu’Il ne pouvait accepter le comportement qu’elle avait eu en début de matinée et qu’Il allait donc la sanctionner. Il lui annonça cent coups de fouet, là, dans le salon. Sur les murs il y avait des anneaux fixés sur des rails, escamotables pour que lorsqu’une personne vanille, elle ne puisse deviner les activités, jugées anormales par la société, du maître des lieux. Alors que Monsieur le Marquis était en train d’attacher Zaō, on sonna à la porte.
    
    - Va ouvrir, Ma chienne, et dépêche-toi ! Et à quatre pattes évidemment !
    
    J’inspirai profondément. Je n’hésiterai jamais à obéir à un ordre du Maître ! Même si je risquais fort de me retrouver en face d’une personne ne faisant pas partie de notre monde D/s. Quand j’ouvris la porte, le facteur qui se trouvait derrière resta un instant interdit.
    
    - Bonjour, entrez-donc ! J’en ai juste pour une seconde.
    
    Le facteur rentra sans un mot, ahuri, mais il ne me quitta pas des yeux. Le Maître s’avança dans son champ de vision et claqua des doigts. Je me déplaçais donc jusqu’à Lui, dépassant l’homme, ...
    ... éberlué certes, mais aussi excité à voir la bosse qui se formait dans son pantalon. Sur un signe de Sa main, je me mis à genoux, les fesses sur les talons, les mains sur les cuisses, paumes vers le ciel, tête baissée, un sourire radieux de petite chienne heureuse et apaisée sur les lèvres. Il me caressa le dessus de la tête, comme Il l’aurait fait de Son chien animal.
    
    - Je vois que ma petite chienne ne vous laisse pas indifférent. Wangdak n’est pas là de la journée. Je suppose que c’est lui que vous vouliez voir. Mais que diriez-vous de profiter d’une chienne-soumise docile avant de reprendre votre tournée ? Je suis de mon côté occupé, cela éviterait de la laisser désœuvrée.
    
    Le pauvre facteur ne put prononcer une parole. Il ne put qu’acquiescer d’un mouvement de tête, avec un regard d’envie. Sur l’invitation du Châtelain, il nous suivit dans le salon, où encore une fois il fut médusé en voyant la cuisinière nue, attachée au mur, bras et jambes en croix. Sur un « Amusez- vous bien », le Maître se tourna vers le mur après avoir saisi un fouet. Je me prosternais, cul face au facteur, prête à lui servir de vide-couilles, lui présentant sans la moindre pudeur mes orifices. Et alors que commençaient à tomber les coups de fouet et que résonnait la voix de la cuisinière comptant les coups, l’homme, dont les instincts reprirent le dessus sur sa stupéfaction, sortit son vit déjà dressé de son pantalon et me pénétra sans demander aucune explication ! Il était si excité de la situation ...