1. Début de vacances


    Datte: 12/01/2021, Catégories: fh, couple, groscul, poilu(e)s, fépilée, vacances, plage, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, portrait, Auteur: Mari comblé, Source: Revebebe

    ... riant.
    
    Nos affaires furent rangées rapidement, il n’y en avait pas beaucoup. Nous sommes sortis pour faire quelques courses pour le repas du soir. L’endroit était agréable, il y avait du monde, les gens rentraient de la plage. La couleur de certains montrait que nous allions devoir faire très attention aux coups de soleil, surtout moi, Armelle bronzait à une vitesse folle. Nous avions prévu les crèmes et les huiles solaires avant de partir.
    
    En rentrant, nous avons constaté la présence des voisins, il y avait dans le jardin un grand sac de plage ouvert sur la table de jardin et un parasol. Mais on n’entendait rien. Armelle courut sous la douche pendant que je rangeais un peu. J’allais la rejoindre avec quelques arrière-pensées lorsque, par la fenêtre, en levant les yeux, je vis la voisine.
    
    Elle étendait sur un fil les serviettes de plage et elle était toute nue. Je la voyais de dos, pas très grande avec des petites fesses qui tremblaient quand elle se mettait sur la pointe des pieds pour fixer les serviettes. Elle prenait son temps, je ne bougeais pas pour qu’elle ne prenne pas conscience de ma présence, en espérant qu’elle se retourne. Elle avait fait le tour des serviettes et du coup je ne voyais plus rien. Quand elle réapparut, j’eus un coup au cœur : elle avait le sexe complètement lisse. Elle devait avoir dans les trente ans, des seins petits mais mangés par des aréoles très larges et très foncées. Elle n’était pas très bronzée, j’avais remarqué les épaules un ...
    ... peu rouges, et les lèvres du sexe bien pigmentées se voyaient plus que si tout le corps avait été halé.
    
    Armelle sortait de la douche, le tee-shirt trempé à la main. Elle était nue, ce qui ne lui ressemblait pas, elle avait toujours le temps de mettre quelque chose. Je fis semblant de m’intéresser au branchement de la télévision.
    
    — Tu n’as toujours vu personne ? me demanda-t-elle.
    
    Et j’eus le courage de répondre non.
    
    — J’ai vu un fil à linge dans le jardin, je vais étendre mon tee-shirt. Tu crois que je peux sortir comme ça ?
    — Évidemment : le type de l’agence a bien dit qu’il y avait personne au premier.
    
    À ma stupéfaction, je vis Armelle sortir nue et je m’attendais à un cri lorsqu’elle allait apercevoir la voisine. Devant le silence, je hasardais une tête… La voisine n’était plus dans le jardin. Armelle étendait le tee-shirt et essayait de tendre mieux le fil. Je craignais le pire si jamais la voisine réapparaissait dans le jardin habillée. Le choc fut rude lorsque j’entendis un « Bonjour ! » joyeux venant d’à côté. La voisine était dans l’angle mort : nue ? habillée ? Armelle avait tressauté et s’était retournée d’un coup, en mettant une main devant son sexe et en croisant les bras devant sa poitrine. Je fermais les yeux : ça va être ma fête ! Très à l’aise, la voisine revint dans mon champ de vision, elle était nue. Elle s’approcha de la clôture en s’adressant à Armelle :
    
    — Vous venez d’arriver ? Nous, ça fait deux jours, je m’appelle Martine.
    
    Martine ...