1. Début de vacances


    Datte: 12/01/2021, Catégories: fh, couple, groscul, poilu(e)s, fépilée, vacances, plage, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, portrait, Auteur: Mari comblé, Source: Revebebe

    L’été dernier, ma femme et moi avions décidé de passer nos vacances sur la côte atlantique. C’était nos premières vacances sans enfants depuis bien longtemps, des amis ayant proposé de les prendre une quinzaine dans le sud.
    
    Nous étions partis un peu au hasard, sans réservation particulière. Il faisait très chaud sur la route de ce début juillet, et le premier soir fut difficile, nous avons fini dans un petit hôtel sans charme, à cinquante kilomètres de la côte, nous n’avions rien trouvé d’autre. Le repas ne fut pas très brillant, la salle était bruyante et la nourriture quelconque. À la fin du repas, Armelle et moi sommes sortis pour prendre le peu de frais de la soirée.
    
    Il y avait un autre couple qui faisait de même. Ils étaient dans nos âges, la petite quarantaine. L’homme fumait cigarette sur cigarette, assis sur une petite table de jardin. La femme, une blonde, essayait de le calmer. La conversation portait sur l’hôtel, ils y étaient depuis la veille et n’avaient rien trouvé d’autre. Armelle engagea la conversation sur le même sujet, cherchant à obtenir des informations sur les possibilités de trouver quelque chose en bord de mer. La blonde était assez calme, elle s’appelait Jocelyne, le mari Richard. Nous avons parlé un peu.
    
    Je regardais Jocelyne, elle avait une grosse poitrine qui s’agitait quand elle bougeait. Armelle a des petits seins, encore bien dressés après deux enfants. Jocelyne ne portait pas de soutien-gorge sous un tee-shirt rose au travers duquel ...
    ... on devinait des tétons épais. Je surpris le regard d’Armelle, elle semblait fixer un peu trop souvent le short de Richard. Je fis un pas de côté pour me mettre dans son angle de vue. Il ne portait pas de slip et le sexe était bien visible dans l’ouverture de la jambe. La verge semblait longue. Armelle rougit en croisant mon regard.
    
    Le couple nous souhaita une bonne nuit, ils devaient se lever tôt. Richard nous souhaita bonne chance pour dormir, tellement l’hôtel était bruyant. Nous les suivîmes, il fallait aussi que nous partions tôt pour trouver quelque chose en bord de mer. Nous nous sommes souhaité bonne nuit dans le couloir, nous avions deux chambres contiguës. La nôtre était étouffante, chauffée toute la journée. Effectivement, c’était bruyant, on entendait des bruits divers de douche et de pas. En plus, les deux chambres étaient communicantes, séparées par une porte verrouillée, mais on entendait distinctement Jocelyne et Richard. J’étais au bord de partir, mais Armelle me dit qu’on ne trouverait rien d’autre ce soir.
    
    Elle s’était mise nue, la lumière d’une lampe de chevet l’éclairait faiblement. Je connaissais son corps par cœur, les tétons étaient dressés, très longs. Ses aréoles disparaissaient entièrement quand les bouts étaient tendus. Le mamelon faisait un bon centimètre et devenait très sombre. C’était un bon baromètre de son désir, quand elle sortait les antennes, comme je lui disais. Elle avait une taille fine et des hanches fortes, avec des cuisses assez ...
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