1. Début de vacances


    Datte: 12/01/2021, Catégories: fh, couple, groscul, poilu(e)s, fépilée, vacances, plage, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, portrait, Auteur: Mari comblé, Source: Revebebe

    ... fortes et des fesses capitonnées. Le sexe était couvert d’une abondante toison brune dont elle avait toujours refusé de se séparer. J’adorais ses poils, mais j’aurais aimé la voir une fois rasée, elle n’avait jamais voulu. Elle considérait qu’une vraie femme doit avoir des poils. Cela ne l’empêchait pas de porter des petites culottes. L’hiver, de toute façon, elle ne portait que des collants qui lui servaient également de culotte.
    
    La douche avait un rideau trop petit, et je la contemplais à loisir. Elle me tournait le dos et j’adorais son cul large. Je me déshabillais et la rejoignis. La cabine réduite nous obligeait à être collés. Elle m’embrassa et prit rapidement mon sexe déjà bien raide entre ses doigts. L’eau coulait entre nous deux. Je caressai sa chatte, les lèvres étaient ouvertes et bien gonflées. Sans même nous sécher, nous nous jetâmes sur le lit. Je l’embrassai partout, les tétons étaient durs, grumeleux et gros comme des framboises. Elle écartait ses cuisses et maintenait ma tête pendant que je léchais son sexe.
    
    Ses poils étaient doux, le clitoris très développé pointait sa petite tête rose et dure, tout sorti du capuchon, elle bandait et ça m’excitait beaucoup. À chaque coup de langue sur le clitoris elle semblait recevoir une décharge électrique. J’avais mal à mon sexe, tellement il était tendu. Je la sentais prête à jouir, sa respiration s’accélérait, elle geignait un peu et ses grosses cuisses se refermaient sur moi pour m’emprisonner.
    
    Là, nous ...
    ... entendîmes un cri de femme, juste derrière la cloison, ce qui nous figea. Mais la suite nous fit rire : c’était Jocelyne qui criait, mais de plaisir, on reconnaissait son timbre de voix. C’était une suite de petits cris aigus, suivis d’une sorte de râle et d’un cri profond.
    
    Rassurés sur la nature du bruit et excités par son origine, nous reprîmes nos ébats. Armelle m’attira vers elle et prit mon sexe dans sa bouche, entourant le gland nu de ses lèvres et de sa langue. Elle ne prenait jamais le sexe entier mais suçait le gland avec délice. Elle se masturbait en même temps, les cuisses très ouvertes, en frottant le clitoris. Je ne parvins pas à tenir longtemps et déversai un sperme épais par quatre ou cinq giclées sur ses lèvres et dans sa bouche. Son orgasme arriva immédiatement, elle se raidit et fut secouée de frissons.
    
    Nous nous reposâmes un peu en écoutant la chambre d’à côté : Jocelyne et Richard avaient remis ça. On entendait presque le bruit du lit.
    
    Armelle reprit ses caresses et je rebandai rapidement, elle m’embrassait à pleine bouche, je sentais le goût de mon propre sperme. Les voisins accéléraient, Armelle me bascula sur le dos et vint s’asseoir sur moi, elle se pénétra d’un coup et je vis ses yeux se révulser de plaisir. Elle donnait de grands coups de reins et se mit à répéter : « Je vais jouir, je vais jouir je vais jouir » de plus en plus fort et elle cria en s’effondrant sur moi et en me mordant la bouche. Les spasmes la secouaient, elle s’arracha à moi, ...
«1234...»