1. Le dégel


    Datte: 11/01/2021, Catégories: fh, extraoffre, amour, Oral pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... qui bouge doucement dans ma maîtresse pour ne pas prendre le risque de rompre cette harmonie, je sens bien que je suis extrêmement chaud et sensible. Je dois me retenir de jouir tellement le spectacle me plaît. Je coulisse dans une crème onctueuse. Manifestement, Anaïs aussi est troublée. Troublée au point que je sens qu’elle se caresse le clito, ses doigts s’égarant parfois sur ma tige.
    
    Valériane n’en a pas terminé avec son amant. Elle se soulève et lui tourne le dos avant de s’empaler d’une chute sur la bite à peine entrevue. Une Tahitienne ne ferait pas mieux. Il en faut des heures de cours, yoga et assouplissements pour faire ce qu’elle fait ! Je sais pour l’avoir souvent vécu que le mandrin ne quitte pas d’un millimètre la profondeur du vagin, mais est massé et pompé de l’intérieur.
    
    J’ai honte, mais sans avertissement j’ai lâché ma purée. C’est un peu comme si j’étais redevenu adolescent avec un contrôle défaillant. Heureusement, certains signes me font comprendre qu’Anaïs a son plaisir.
    
    Dans la chambre, les amants, eux, peuvent parler et ne s’en privent pas. C’est étonnant car en regardant ce couple baiser, je me rends compte combien les amants sont bruyants. On n’a pas conscience de cela lorsqu’on le fait soi-même. Les « Oui, encore, c’est bon, continue, je viens, tu es bonne, tu es dur » sont noyés dans des soupirs, des feulements, des gémissements.
    
    Je tire discrètement Anaïs pour lui faire comprendre que nous devons partir car ils vont redevenir sensibles ...
    ... à ce qui se passe ailleurs que dans la bulle des baiseurs.
    
    De retour dans notre chambre, nous pouvons parler.
    
    — Tu vois, ils ne se sont pas posé de questions, dis-je alors que je prends Anaïs dans mes bras.
    — C’est vrai. Ils forment un beau couple, et ta femme est une sacrée suceuse.
    — Oui, mais je peux te poser une question ?
    — Bien sûr.
    — Je n’ai rien à voir avec ton mari, et vraiment je m’étonne que tu aies accepté de coucher avec moi et encore plus de venir ici.
    — Oh, voilà mon Pascal qui doute. La beauté n’est pas tout. Alban est bien, mais avec toi c’était encore mieux. Voilà ce que j’ai aimé entre autres.
    
    Elle recule. Elle s’allonge sur le dos. Mais sa tête reste dans le vide. Elle me regarde par dessous. Offerte, les yeux qui brillent, salope avec sa langue qui passe sur ses lèvres… Ma queue se redresse déjà. Je la lui propose. Elle l’accepte. Je me penche sur elle, la laissant maîtresse de sa gourmandise alors que moi je plonge entre ses cuisses. J’y découvre des traces de mon foutre qui a coulé. Mais la chatte en est encore imprégnée. J’y plonge avec délice. Mon sperme ne me dégoûte pas, et il y bien longtemps que je l’ai goûté. Comment refuser à Valériane qui, sa bouche pleine de mon foutre, oui, comment refuser ce baiser pervers mais si symbolique d’un partage total ?
    
    Il ne faut pas longtemps pour que je tire des gémissements de plaisir de la femme qui me suce. Mais ce n’est pas tout. Je me redresse et redeviens le mâle qu’elle souhaite. Ainsi ma ...
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