1. Le dégel


    Datte: 11/01/2021, Catégories: fh, extraoffre, amour, Oral pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... gland dans la fente, avant-garde de la hampe qui est comme aspirée.
    
    Valériane ferme les yeux. Alban s’active. Le canapé grince et ma femme pousse son ventre en avant.
    
    En deux temps trois mouvements nous nous déshabillons. Alban a encore son pantalon et sa chemise débraillée. Ma femme a conservé sa robe. On l’imagine remontée et froissée sous elle. Je pousse Anaïs afin qu’elle s’appuie contre le dossier du canapé. Je veux être au plus près de ma femme et voir sur son visage une jouissance qui n’est pas de mon fait. Et qu’elle nous voie également.
    
    La vidéo et le reste ont fait de ma pine un tronc de chêne. Je vérifie juste d’un doigt que la fente est humide. Il y en a largement pour deux. J’enfile ma partenaire, me rappelant qu’un peu de rudesse ne lui déplait pas. La secousse ébranle le canapé. Valériane nous découvre. Son sourire me ravit. Son amant la baise tranquillement mais elle le repousse et vient s’agenouiller sur le canapé, les bras appuyés sur le dossier. Ainsi les deux femmes se font face, enfin presque, juste un peu décalées.
    
    Alban a compris le message ; d’une poussée, il vient reprendre sa place dans le fourreau de sa maîtresse. La jupe me cache la possession. Dommage, ce sera pour la prochaine fois. D’ailleurs il va falloir que je pense à filmer, mais pour cela je devrai être uniquement spectateur. Le temps est pour nous. Nul doute que ce n’est que le début.
    
    Je m’active. La chatte est ouverte, détrempée mais étroite, et les parois sont des ...
    ... caresses.
    
    Alban aussi. Sans le vouloir, nous nous synchronisons. Ma queue brille avant de disparaître. Je ne vois pas la sienne. Et puis il s’immobilise et je vois sa main disparaître sous la robe.
    
    Le visage de ma femme se crispe. Ses yeux chavirent alors qu’elle s’accroche au canapé à le rompre.
    
    — Il… il…
    
    J’ai bien une idée, mais je veux lui laisser le soin de le dire.
    
    — Quoi, chérie ?
    — Il… il me prend par… Il m’en…cule… Ahhhhhhhhhhhhh !
    
    Cette putain de robe me le cache, mais à la façon dont Alban est placé, j’ai bien l’impression qu’il l’a enfilée manu militari. Je ne suis pas inquiet pour le cul de ma femme : il y a bien longtemps que je la prends ainsi, et j’imagine que ses amants doivent en apprécier l’étroitesse.
    
    — Ça va, chérie ? demande le mari attentionné que je suis, mais heureux de la chose.
    — Oui. C’est juste qu’il est un peu gros, et j’ai été surprise.
    
    Alban commence son mouvement de balancier.
    
    — C’est bon. Je le sens bien. Je mouille du cul, je crois. Et toi, tu vas la prendre pareil ?
    
    La question qui dérange. Pendant notre nuit de tempête, j’ai eu l’impression qu’Anaïs refusait ce chemin.
    
    — Oui, lui aussi va me prendre par ce chemin.
    
    C’est ma maîtresse qui répond à ma place. Mieux, elle se penche pour avoir la poitrine en appui sur le dossier et ses mains manucurées viennent écarter les lobes pour me faciliter la tâche. Rien de vaut la salive pour bien lubrifier. Je laisse tomber un filet du liquide miraculeux. Moi, j’ai une ...
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