Le dégel
Datte: 11/01/2021,
Catégories:
fh,
extraoffre,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
échange,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... peu de temps ?
Mais la main descend et palpe avec plus de force le corps de la femme attachée. Les seins, le ventre, les fesses. Et puis elle se glisse sous la jupe, bouge.
— Salope, tu mouilles déjà ! Tu es toute excitée.
— Chéri, je…
— Chut, tais-toi, il me semble que quelqu’un vient…
Le champ s’élargit. Des feuillages bougent. Deux hommes en sortent. Ils sont jeunes. L’un d’eux doit être celui qui a été le déclencheur ; l’autre ne fait pas beaucoup plus vieux. Un air de famille. Des frères, peut-être. Ainsi, très vite le couple a eu à sa disposition un autre homme, en toute discrétion.
Les deux hommes ne regardent pas la caméra. Elle est transparente pour eux. Nul doute que ce n’est pas la première fois. Manifestement, Louis a voulu très vite garder un souvenir de ces moments. Ils avancent. Comme dans un scénario bien réglé, ils prennent possession de la femme. La robe est vite à terre. Lise est nue dessous. Quatre mains lui arrachent des gémissements. Les bouches s’emparent des tétons. De concert, les deux garçons enlèvent leur maillot de bain. Leur sexe est bien tendu. Merveille de la jeunesse où il suffit d’une pensée pour bander dur ! La capote recouvre bientôt chaque mandrin. Un des hommes se plaque derrière elle. Il doit lui faire sentir sa queue pendant que ses mains malaxent la poitrine. Peut-être un peu durement. Moi, je ferais… mais ce n’est pas moi. Pendant ce temps, l’autre s’est agenouillé et caresse le minou.
Les gros plans succèdent aux ...
... gros plans. Après que Lise ait eu un premier orgasme, le corps tendu par le plaisir, les hommes ont changé. Celui de devant frotte sa queue contre le pubis, embrassant Lise avec une gourmandise évidente lorsque c’est à l’autre de caresser l’intimité, mais une intimité plus secrète. Les fesses sont écartées par des mains puissantes, et lorsque le visage recule, la caméra immortalise le petit cul ouvert et gluant de salive.
C’est par-devant que la première queue la pénètre. Son baiseur se saisit d’elle, et chevillée sur lui il la maintient suspendue, les jambes autour de sa taille. Lorsque l’autre se place et qu’il pousse pour l’enculer, tous manquent de tomber, et ce sont les bras attachés à la branche qui rétablissent l’équilibre précaire.
La suite n’est qu’une succession de plans larges et de gros plans.
Plans larges qui montrent ce trio insolite onduler et se balancer avec Lise comme fruit attaché à un arbre qui n’a pas dû voir souvent ce spectacle. Les trouvent-t-ils trop lourds, lui qui ne connaît que le poids des oiseaux ? Plans larges qui font deviner la dune, imaginer l’océan et la plage avec tous ces baigneurs qui ne se doutent pas !
Gros plans où les queues sont les stars. Des stars qui entrent et sortent en cadence de leur grotte pour mieux y replonger. Gros plans sur le visage de sa femme. Un visage marqué, ravagé par ce qu’elle subit, par ce qu’elle accepte, par ce qu’elle demande avec cette bouche aux lèvres soulignées de rouge démontrant, si besoin ...