1. Les Bonheurs de Sophie (14)


    Datte: 10/01/2021, Catégories: Première fois Auteur: Modianorouge, Source: Hds

    ... L'ange-bête n'entendait pas la déchirer. Il n'insista pas. Bas les pattes, la gracieuse pu dégager sa croupe. Mais elle ne capitulait pas. Le temps de réarmer son courage et, malgré l'immensité du défi, elle présentait son postérieur avec encore plus d'application. Aussitôt, la pine reprit son incessant travail de sape sur l'œillet pour qu'il cède à la pression. Sophie serrait les dents, forçait autant que faire se peut ses hanches à ne pas esquiver l'abordage, les larmes perlaient à ses paupières, l'écorce brune de ses magnifiques yeux se couvrait de buée… Jusqu'à ce que la douleur devienne trop intense !
    
    Décidemment, elle n'y arrivait pas ! D'un ravissant mouvement de rein, elle se soustrait une nouvelle fois à l'enculage. Le ballet de ses dérobades était terriblement suggestif, son bassin et son cul charnu, en s'esquivant, stimulaient les désirs, le con et l'anus jouaient ainsi à cache-cache avec la pine, les coquins provoquaient les regards des voyeurs présents dans la salle. Mais, l'essentiel, le cœur de la cible, restait toujours aussi verrouillé.
    
    Sophie découragée venait de s'assoir. Elle escamotait certes son postérieur à la sodomie, mais ainsi, nudité princière posée avec délicatesse sur son séant, elle irradiait de mille sensualités. Si bien que l'échec sexuel coïncidait avec un triomphe érotique. Quelle tristesse dans son regard. Quelle injustice ! La tension dans la salle était à son paroxysme. Tous rêvaient de la réconforter et surtout de la combler. ...
    ... Seul L'ange-bête savait raison garder.
    
    Il s'accroupit derrière elle et l'entoura de ses pattes protectrices. Accablée, la tête posée sur l'encolure réconfortante, elle s'abandonna, en toute confiance, contre le poitrail ; la soie de sa peau se confondait avec le pelage dru ; son cœur battait fort dans sa poitrine et ses grisantes dunes mammaires soulevaient au rythme d'un trouble infini les doux tétons hérissés de fébrilité libidineuse. Une abnégation totale mais une capitulation au gout inachevé, celle d'une fragilité extrême sublimée par la virilité et pourtant encore inaccomplie ; son ultime résistance contrariait la suprématie animale.
    
    Elle jugea nécessaire de se justifier. La voix de la jeune femme était émouvante, chagrinée, mouillée de larmes :
    
    " Je suis désolée ange, je n'y arrive pas. C'est trop gros pour moi.
    
    - Au moins vous vous serez efforcée.
    
    - Je vous déçois, n'est-ce pas ?
    
    - Il ne s'agit pas de moi, Sophie.
    
    - De qui alors ? De ces hommes qui nous observent dans leur fauteuil roulant ?
    
    - L'attente était immense. Peut-être démesurée. "
    
    L'ange-bête, sans doute pour maintenir son érection, frottait ostensiblement son énorme pine contre la délicieuse croupe rebondie. Son torse velu plaqué au dos de la limpide innocente, le satyre velu jouait ainsi des reins et, tel un pornographe, il profitait de sa position pour abuser du rembourré ; mais Sophie ne s'offusquait nullement, elle consentait à l'obscénité masturbatoire et même, en creusant ...