Les Bonheurs de Sophie (14)
Datte: 10/01/2021,
Catégories:
Première fois
Auteur: Modianorouge, Source: Hds
... surnaturelle et ses pattes antérieures de singes, avec lesquelles il agrippait fermement les hanches de Sophie, cet être fantastique cumulait essentiellement des traits morphologiques typiques des bovins : un tronc au poitrail large avec un thorax profond et un ventre ramassé. Il frottait déjà sa pine contre la croupe de sa femelle. Comme pour attester du caractère parfaitement improbable de la sodomie d'un petit cul aussi tendre, l'appareil génital de l'ange-bête résultait d'un compromis difficilement acceptable par l'entendement. Dignes d'un trophée mythologique dérobé aux Dieux, deux couilles de buffles de plusieurs kilos pendaient entre les cuisses du reproducteur ; le phallus, relevait, lui, déjà plus de la physiologie humaine, mais il n'avait pas été pour autant épargné par la mutation. Le gland proéminent chapeautait une verge de forme courbée, à la chair à vif, rose criarde ; niveau proportion, elle était tout simplement titanesque. L'engin, suite aux plongées successive dans le con de Sophie, pareil à un lutteur huilé, luisait de mouille. Face à un organe aussi aguerri, le combat s'annonçait particulièrement déséquilibré. Le dépucelage de la matrice avait déjà été stupéfiant, mais la démesure de la fouterie pouvait encore s'apparenter à la délivrance d'une naissance. Au lieu de mettre bas, elle s'était faite remplir. Mais dans le cul, les velléités de fécondation ne se résolvaient jamais par l'enfantement. Quelle résistance opposerait le minuscule anus ? Phil ...
... était prêt à prendre les paris :
" Ce n'est pas possible, il va la défoncer ! ".
L'ange-bête tenait par les hanches son magnifique butin. La voie était toute indiquée il suffisait de suivre le tracé de la raie. La pine s'inséra donc dans le sillon en se contentant, tout d'abord, de copieusement enduire de mouille le cœur de la cible. L'animal tout en tirant avec ses grosses pattes velues sur la peau du cul pour écarter au maximum la rainure badigeonna l'œillet dans l'intention évident de l'attendrir.
L'anxiété se lisait sur le visage crispé de Sophie. Et elle était compréhensive. Tout laissait, en effet, penser que les assauts de l'animal seraient dévastateurs. Mais, il ne faut jamais se fier aux apparences.
Alors que l'on attendait à des grognements informes, l'être hybride s'adressa à elle d'une voix douce et mélodieuse :
" Détendez-vous Sophie. Ayez confiance. A tout moment vous pouvez demander que l'on arrête la cérémonie.
- Il n'en est pas question. "
En gage de sa détermination, la jeune femme, accentua encore la pente offerte par son dos. La colonne vertébrale cambrée et les reins creusés à l'extrême, ainsi prosternée, elle ne pouvait pas soumettre plus son arrière train à l'enculage. Fort de cet entier consentement, la pine commença à pousser.
C'était tellement prévisible ! Le nœud résistait. La jeune fille cria, une première fois en tortillant du cul, mais coopérante, elle persévéra dans la position. Alors, il poussa à nouveau. Elle hurla. ...