1. L'amour au détour des quais


    Datte: 10/01/2021, Catégories: Masturbation Inceste / Tabou Anal Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... :
    
    « Il n’est pas méchant. »
    
    J’ai caressé le chien vite fait et suis allé jusqu’à la porte qui était ouverte. Mylène était là, assise en tailleur au bord de son lit. Elle n’avait conservé que son pull beige à col roulé. Dans cette position, sa chatte était ouverte. Elle était dotée d’une fille toison couleur noisette, naturelle.
    
    « J’ai gardé le haut, dit-elle, j’ai peur d’avoir froid. Mais vous pouvez me tripoter sous le pull, j’ai aussi enlevé mon soutif. »
    
    « Tu as un préservatif ? »
    
    « Ma mère en a dans le tiroir de sa table de nuit, mais ça ne me dérange pas de le faire comme ça. Comme vous voulez. »
    
    Je n’ai rien dit, je me suis avancé vers elle en ravalant dix fois ma salive. Puis j’ai pris ses chevilles dans mes mains et j’ai ouvert ses jambes. Ensuite, j’ai plongé mon visage entre ses cuisses. Je me suis mis à lui lécher la chatte et elle s’est mise à pousser des petits cris.
    
    Je bandais à mort et je ne me suis pas attardé.
    
    Je me suis redressé et j’ai enlevé mes vêtements. Tous. Je n’ai rien gardé et j’ai approché ma queue de la chatte de l’adolescente qui souriait en me voyant si sérieux. Elle était trempée. J’ai présenté mon gland à l’entrée, puis je l’ai enfoncée doucement en regardant Mylène dans les yeux. J’ai cru que ma queue glissait dans un pot de beurre resté trop longtemps au soleil. C’était tendre et collant. Je suis allé jusqu’au fond, puis me suis retiré pour aussitôt enfoncer de nouveau ma bite dans cette jolie petite chatte.
    
    Et ...
    ... Mylène gémissait. Elle venait de fermer les yeux en portant ses doigts à la jonction de la pénétration. Et moi je refis des va-et-vient, lentement pour commencer, avant d’accélérer. Ma bite était tendue à mort et les doigts de la fille la touchaient, tout en branlant son clitoris.
    
    Je murmurai :
    
    « Mylène… »
    
    « Oui ? »
    
    « Je peux t’embrasser sur la bouche ? »
    
    « Oui, bien sûr. »
    
    Ce fut d’une sensualité redoutable, étourdissante. Je ne la baisais pas, je lui faisais l’amour. La dernière fois que j’avais fait l’amour remontait à des années. J’avais baisé entre temps, mais pas fait l’amour.
    
    C’est tellement différent. Ce n’est que lorsqu’on fait l’amour qu’on se rend compte que nous passons notre temps à tout confondre, à appeler un chat un chien, à ne prendre aucune précaution avec les mots qu’on emploie. Et là, j’ai très nettement fait cette différence. J’avais quarante-neuf ans et je faisais l’amour avec une adolescente.
    
    Même si c’était une jolie petite salope, je lui ai fait l’amour.
    
    Même si par la suite elle me raconta qu’elle avait treize ans la première fois qu’un homme mûr l’avait pénétrée, je lui ai fait l’amour.
    
    Même si elle m’expliqua qu’elle le faisait dès qu’une l’occasion se présentait, avec n’importe quel homme, du moment qu’il avait au moins l’âge d’être son père, je lui ai fait l’amour.
    
    Et je l’ai prise par derrière.
    
    Je lui ai sucé l’anus en bavant dessus.
    
    Je l’ai ensuite sodomisée, parce qu’elle m’a dit qu’elle aimait bien, mais ...