1. L'amour au détour des quais


    Datte: 10/01/2021, Catégories: Masturbation Inceste / Tabou Anal Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... que tu fais ça ? »
    
    « Non. »
    
    « Sur les quais, tu l’as déjà fait ? »
    
    « Non, dans d’autres endroits. »
    
    « Avec cet homme, c’était la première fois ? »
    
    « La deuxième. »
    
    « Et qu’est-ce que j’aurais vu si j’étais arrivé cinq minutes plus tard ? »
    
    « Cinq, je ne sais pas… »
    
    « Disons quinze minutes. »
    
    Elle avait de nouveau baissé les yeux.
    
    « On se serait sûrement mis ailleurs pour faire le reste. »
    
    « C’est quoi, le reste ? »
    
    « Ben, le reste, dit-elle. »
    
    Je me mettais à bander. Nous étions là, cette jolie gamine et moi, à discuter sur le palier d’un immeuble silencieux. Je l’avais surprise en train de sucer un homme qui aurait pu être son grand-père, et je bandais.
    
    « Mylène. »
    
    « Oui ? »
    
    « Tu aurais eu une relation sexuelle avec cet homme si je n’étais pas arrivé ? »
    
    « Oui, je pense. »
    
    « Tu n’as pas froid aux yeux, dis-moi. »
    
    « Pourquoi vous dites ça ? »
    
    « Parce que tu réponds sans hésitation à toutes les questions que je te pose, comme si c’étaient des questions banales. »
    
    « Ben, je suis comme ça. »
    
    « Ravi de l’apprendre, dis-je. »
    
    On resta à se regarder dans les yeux pendant un petit moment, sans rien ajouter, puis je dis en souriant :
    
    « Tu me donnerais presque envie de prendre un petit chien, pour aller le promener sur les quais. »
    
    Elle pouffa et dit :
    
    « Ce n’est pas la peine. »
    
    « Pourquoi ? »
    
    « Ben, si c’est juste pour faire l’amour avec moi, ce n’est pas la peine de prendre un chien. »
    
    Je suis ...
    ... resté bouche bée pendant des secondes, à la regarder. Elle s’était arrêtée de sourire et ne quittait pas mon regard.
    
    Je bandais sérieusement.
    
    Alors je lui ai dit :
    
    « Tu veux entrer cinq minutes ? »
    
    Elle fit non de la tête et répondit :
    
    « Je préfère qu’on le fasse chez moi, si ça ne vous ennuie pas. Sinon mon chien va m’entendre chez vous et il se mettra à aboyer. »
    
    « On aura qu’à parler à voix basse, dis-je. »
    
    « Non, dit-elle, ce que je veux dire, c’est que je ne suis pas très discrète quand je baise. Et il saura que c’est moi qui crie. »
    
    « Mais ta mère ne risque pas de rentrer ? »
    
    « Non, elle bosse. Et je reprends les cours à quinze heures, ça laisse un peu de temps. »
    
    Sur ces paroles, le chien aboya à l’étage du dessus.
    
    « Vous voyez, il m’a reconnue. Je remonte. Je vous attends. Entrez sans frapper. Ma chambre est au fond du couloir. »
    
    Elle est remontée et j’ai refermé ma porte.
    
    Je n’en revenais pas. Et j’aurais pu rester là, comme ça, à tourner en rond dans mon appartement, en me demandant si je n’avais pas rêvé, mais je savais très bien que ce n’était pas le cas. Mylène m’attendait là-haut.
    
    Alors je me suis lancé.
    
    Je suis sorti de chez moi et j’ai grimpé les marches.
    
    Je n’ai pas frappé, j’ai ouvert, puis refermé discrètement la porte. Il n’y avait pas un bruit dans l’appartement. J’ai pris le couloir et le chien est venu à ma rencontre pour renifler mes chaussures.
    
    Et une petite voix en provenance de la chambre du fond a dit ...