1. Un dimanche à la campagne


    Datte: 10/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Galileo, Source: Hds

    ... ne savais pas comment l’aborder, à tout hasard, je me mis à genoux et attendis qu’elle veuille bien m’adresser la parole.
    
    Feignant m’ignorer, elle attendit une dizaine de minutes et puis, comme-ci elle était surprise.
    
    • Ah ! Tu es encore là. Cela tombe bien, j’ai refais mes comptes et constatée que tu me dois encore mille francs ! Tu peux me faire un chèque !
    
    Devant mon air surpris, elle ajouta.
    
    • Ben oui, deux mille francs c’était boisson non comprise, tu as été bien servi n’est-ce pas ?
    
    Je dus reconnaître qu’elle avait raison même si j’étais frustré de ne pas avoir goûté sa production. Je lui fis donc un chèque. Mais elle en n’avait pas tout fait fini avec moi, en le prenant, elle m’invita à m’allonger sur le parapet.
    
    Baissant sa culotte, elle s’assit sur mon visage. Mon érection repris de plus bel. Dés qu’elle se fut ajustée la chatte sur ma bouche, je pus sucer une mouille abondante. Elle poussa et je reçus ma récompense dans la gorge. J’étais aux anges, à tel point que je fus surpris d’entendre une voix qui disait.
    
    - Bonsoir, ma chérie, il est encore là ?
    
    C’était la voix de Michel.
    
    - Je termine de pisser et le laisse partir.
    
    Elle ajouta.
    
    • Il a été parfait, je ne pouvais pas le laisser partir comme ça, sans un pourboire en liquide. C’est naturel non ?
    
    Ils rirent tous deux des triples jeux de mots.
    
    - Dit donc, vu sa queue, il a l’air d’apprécier.
    
    • Oui, je te raconterais plus tard, mais pour l’instant laisse-nous, je me soulage ...
    ... par petits jets pour qu’il puisse bien déguster et comme il me suce diaboliquement, je veux en profiter au maximum.
    
    Sa miction terminée, elle s’attarda de longues minutes me permettant de laper une quantité au moins aussi importante de sa mouille délicatement parfumée.
    
    Je serai bien resté indéfiniment sous son cul, mais malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin.
    
    Comme dans un nuage, je me retrouvais dans ma voiture, à la grille de la propriété. Je redécouvrais l’existence du soleil, du paysage, après l’extase de l’asservissement où le plaisir de mes maîtresses était mon unique préoccupation, je devais de nouveau prendre des initiatives ne serrais-ce que pour m’engager dans la circulation.
    
    Etait-ce un rêve ou avais-je réellement vécu cet inoubliable après-midi ? Je dus me pincer plusieurs fois, mais, non, c’était bien réel. Mon palais était toujours imprégné de Nicole, je continuais à déguster et ma bite était toujours raide. Je dus m’arrêter à deux reprises pour me branler avant d’arriver exténué chez moi.
    
    Epilogue
    
    Deux semaines plus tard, Je rencontrais de nouveau Michel au cours d’un rendez-vous professionnel. Il m’invita au restaurant comme cela se passe entre un bon client et son fournisseur. Manifestement, il ne se moquait pas de moi en ayant réservé dans un des plus grand restaurant de la capitale.
    
    A l’apéritif, il commença par me donner un chèque de trois mille francs parce que me confia-t-il. « Nicole n’en a pas besoin et qu’elle a tout ...