1. Un dimanche à la campagne


    Datte: 10/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Galileo, Source: Hds

    ... départ d’un gougnottage de plus en plus torride entre les deux femmes, je pouvais suivre les ébats d’un œil tout en lapant l’offrande de France. La situation était très chaude et les deux femmes, certainement pour ne pas mettre Nicole en porte-à-faux, décidèrent de se finir dans l’intimité chez elles. De toute façon, la journée arrivait à son terme et France donna le signal du départ. Tout le monde se rhabilla et Nicole m’ordonna de remettre mon short pour raccompagner les jeunes femmes.
    
    Sur le parking, assumant d’instinct mon rôle d’esclave, je me mis à genoux prés de la portière du conducteur du petit cabriolet japonais. Les jeunes femmes s’embrassaient avant de se quitter. France remercia Nicole pour « cette très agréable et reposante après-midi », et Elsa qu’elle « espérait remettre ça bientôt »
    
    Arrivant prés de sa portière, France fit une courte pose pour que je puisse lui baiser les pieds avant de monter dans sa voiture. Je me précipitais de l’autre côté où m’attendait Elsa pour lui rendre le même hommage. Le moteur était en marche lorsque Elsa, déjà assise dans le cabriolet, fit une dernière requête à France.
    
    - Avant de partir, j’aimerais bien lui tâter la queue.
    
    France, qui lui laissait faire tous ces caprices d’autant qu’Elsa avait pris sa mine boudeuse, me regarda d’un œil méchant tout en m’ordonnant.
    
    - Vas-y baisse ton short !
    
    Debout prés de la voiture décapotée et ravis qu’enfin, quelqu’un s’intéresse à ma queue, je baissais mon short laissant ...
    ... apparaître une bite avec un gland violacé. Elsa la prit dans sa main, la soupesa, sa main était douce, agréable, je me retenais pour essayer de respecter la volonté de Nicole. Sadique, Elsa fit quelques va-et-vient le long de ma hampe, ce fut de trop, la fabrique de sperme qui avait été sollicité toute l’après-midi ne pouvait plus rien stocker, j’éjaculais en de longs jets blanchâtres. Ma bite, enfin soulagée, eu un petit mouvement de repli, ce faisant, la dernière giclée laissa une trace sur la main d’Elsa qui s’écria.
    
    - Tu as raison, France, un homme c’est vraiment dégoûtant !
    
    Se tournant vers moi.
    
    - Qu’attends-tu pour me lécher ça !
    
    Je m’exécutais servilement en me confondant en excuses. Lorsque sa main fut débarrassée de la marque impure, elle se retourna vers France et lui roula un patin torride.
    
    Le cabriolet démarra et les deux filles nous firent des signes de la main en franchissant la grille.
    
    Nous n’étions plus que deux.
    
    Nicole s’approcha de moi et empoigna vigoureusement ma queue à travers mon short. Ma queue, qui après avoir eu satisfaction était un peu moins prétentieuse.
    
    • Dit donc, après avoir bandé toute l’après-midi tu ne vas me lâcher comme ça !
    
    C’était dit d’un air moqueur mais elle savait pouvoir compter sur la fascination qu’elle exerçait sur moi, sentir la main de cette créature de rêve sur mon sexe me fit retomber en extase, la queue de nouveau triomphante. Nicole me tirant par la bite, nous repartîmes vers la piscine.
    
    Elle me ...
«12...141516...»