1. Une étudiante à sa fenêtre


    Datte: 04/01/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Lesbienne Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... j’aime bien ou derrière des palissades de chantier. »
    
    « Tu es à poil quand ils te baisent ? »
    
    « Oui, la plupart du temps. »
    
    « Tu te mets à poils derrière des palissades de chantier ? »
    
    « Oui. »
    
    « Tu suces des bites, à poil, derrière des palissades de chantier ? »
    
    « Oui. »
    
    « Je ne vais pas tarder à gicler, Déborah. »
    
    Je ne dis rien. Je m’étais remise à me branler le vagin, tout en parlant à cet homme. Ma chatte était en feu. Moi non plus, je n’allais pas tarder à jouir. J’adorais ce qu’on était en train de faire, car je n’étais pas seule, pour une fois. Je me branlais avec un interlocuteur. Et je savais que je pouvais lui livrer tout ce que j’avais sur le cœur et dans le bas du ventre. Tout. Les meilleures choses comme les pires.
    
    « Continue, ma chérie, dit-il. »
    
    J’ai soupiré, puis je me suis lâchée :
    
    « Je vais sûrement finir par le faire, tôt ou tard. »
    
    « Par faire quoi ? »
    
    « Me mettre à poil devant un inconnu qui m’a abordée. »
    
    « Tu lui montreras tes nichons et ta chatte ? »
    
    « Oui, je baisserai ma culotte devant lui et je le sucerai. Je serai à poil et il pourra me demander ce qu’il veut. »
    
    « Derrière une palissade de chantier ? »
    
    « Ou chez lui, dans une chambre. Ou dans un salon. J’ai envie de me foutre à poil devant un inconnu et de me faire sauter pendant que mon copain est à la fac. »
    
    « Oui, tu te prends une queue dans la chatte… »
    
    « Oui. »
    
    « Sans capote, n’est-ce pas ? »
    
    « Oui, sans capote. Je touche sa ...
    ... queue et je masse ses couilles… »
    
    « Continue, petite pute… »
    
    « Je me fais défoncer le cul pendant que mon copain est en cours. »
    
    « Ça y est, je gicle, salope. Ah putain… tu me fais gicler, putain… Ah c’est bon, je gicle… oui, c’est bon… je m’en fous partout… dis-moi encore des mots, petite salope… »
    
    « Je me fais sauter par n’importe qui, dis-je en me faisant jouir à mon tour. Oh… Oui, je me fais sucer le cul… Oh… Oh… Oui, une langue me suce le cul pendant que je pisse, putain, oui… Oh… Oh… Oh oui, c’est bon… »
    
    L’homme raccrocha.
    
    Et j’ai fini par aller le voir, bien entendu. Après avoir discuté trois autres fois avec lui par téléphone, j’ai traversé discrètement la rue et il m’a ouvert sa porte. Je me suis mise à poil devant lui et il m’a sautée.
    
    C’est vite devenu une habitude. Il était vraiment aimable, bienveillant, tout en étant très vulgaire, voire odieux. Ça me convenait, je ne demandais que ça. Et je fus très vulgaire aussi.
    
    Tous les deux jours, j’allais chez lui et on baisait.
    
    Si bien que j’ai fini par ne plus avoir envie de le faire avec mon copain. Je m’ennuyais. Et je l’ai quitté. Sans cesser de voir cet hommes plusieurs fois par semaine, je me suis installée dans un nouvel appartement qui offrait un assez beau vis-à-vis avec l’immeuble d’en face.
    
    Rapidement, j’ai surpris des visages qui m’observaient derrière des vitres. Un homme assez âgé, pour commencer, chez qui j’ai fini par aller afin de coucher avec lui.
    
    Puis une fille, un soir. ...
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