1. Une étudiante à sa fenêtre


    Datte: 04/01/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Lesbienne Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... nouveau mon doigt et me le remis profond.
    
    « Petite salope, dit l’homme. Mais je ne peux pas t’obliger à traverser la rue. Tu fais ce que tu veux, mais moi il y a une chose que j’aimerais. »
    
    « Quoi donc ? demandai-je. »
    
    « Fais-moi gicler en me parlant. »
    
    « Vous voudriez que je vous dise quoi ? »
    
    « Ce que tu aimes, ce que tu fais, ce que tu imagines quand tu te branles toute seule chez toi. Dis-le-moi avec des mots très crus. »
    
    Silence.
    
    Je retirai mon doigt et enlevai ma chemise.
    
    Ensuite je me massai les nichons en regardant ma chatte et mes cuisses bien écartées au bord de mon lit. Je me sentais salope, avec cet homme qui me disait des choses qui me faisaient mouiller à mort.
    
    « Fais-moi gicler, Déborah, s’il te plait, dit l’homme. »
    
    J’attendis pour répondre, et il répéta :
    
    « Fais gicler mon sperme avec tes mots, vas-y. »
    
    Nouveau silence.
    
    Je me caressais seulement les poils à présent. Une moto passa dans la rue, suivie d’une ribambelle de gamins agités, quatre mètres en-dessous de ma fenêtre. Un garçon traitait un camarade d’enculé.
    
    « Je me fais baiser par des mecs, dis-je. »
    
    « Quels mecs ? »
    
    « Des étudiants ? »
    
    « Que tu connais ? »
    
    « Parfois oui, mais souvent je les invente. »
    
    « Uniquement des étudiants ? »
    
    « Non. »
    
    « Qui d’autre ? »
    
    J’hésitai un moment. Je n’avais jamais raconté ce genre de chose à personne, y compris à mes meilleures copines.
    
    Puis je me décidai à dire :
    
    « Des hommes qui m’abordent dans ...
    ... la rue. »
    
    « En vrai, ils t’abordent ? »
    
    « Oui, ça arrive souvent. »
    
    « C’est normal, tu es une très jolie fille, Déborah. Et que te disent ces hommes qui t’abordent ? »
    
    « Ils veulent m’offrir un verre et bavarder avec moi. »
    
    « Et tu acceptes ? »
    
    « Non. »
    
    « Jamais ? »
    
    « Non. »
    
    « Mais quand tu te retrouves toute seul chez toi, tu imagines que tu as accepté, c’est cela ? »
    
    « Oui. »
    
    « Et ensuite ? »
    
    « Ensuite, on fait connaissance en buvant un verre. »
    
    « Comment es-tu habillée dans ces moments que tu imagines ? »
    
    « Ça dépend, dis-je. Parfois, je porte ce petit short que j’ai aujourd’hui, mais il y a aussi une robe à fleurs que j’aime bien. »
    
    « Et dessous ? »
    
    « Dessous… J’imagine souvent que je n’ai rien, dessous. »
    
    « Oui, dit l’homme, puisque tu es une salope. »
    
    « C’est ça. »
    
    « Et fais-tu en sorte que les hommes sachent que tu es à poil sous cette petite robe ? »
    
    « Ils savent déjà que je n’ai pas de soutif, ça se voit quand je la porte, mais je ne la porte presque jamais, car mon copain ne l’aime pas, parce qu’on voit que je n’ai pas de soutif, et puis elle est très courte. »
    
    « Très courte comment ? »
    
    « Ben… Si je me penche en avant, on voit tout. »
    
    « Ton cul ? »
    
    « Voilà. »
    
    « Ton cul et ta moule ? »
    
    « Oui. »
    
    Un court silence, puis l’homme dit :
    
    « Et ces hommes, ensuite, ils te baisent ? »
    
    « Oui. »
    
    « Chez eux ? »
    
    « Chez eux ou dans des endroits discrets de la ville. Dans un jardin public que ...
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