Le bal du samedi soir
Datte: 03/01/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
poilu(e)s,
campagne,
boitenuit,
danser,
hdomine,
intermast,
Oral
init,
prememois,
initfh,
occasion,
Auteur: Jean-Paul60, Source: Revebebe
... lui soulève le menton ; elle ne résiste pas. La bouche de l’homme s’empare de la sienne ; mélange de langues, invasion de son palais tandis que ses mains se crispent sur les épaules masculines… la peur d’être vue, que tout le monde la regarde, alors elle interrompt le baiser. Mais non, ils sont dans la partie la plus sombre de la salle, personne ne les a vus. Retour vers un espace éclairé par le halo scintillant du projecteur.
— Ta bouche est très agréable… elle a le goût que j’aime.
Elle est terrorisée à l’idée qu’on les entende, alors il la dirige à nouveau dans la pénombre. Nouveau baiser, cette fois, plus profond. La langue envahit sa bouche, visite ses dents, repousse sa langue, et derrière la main droite qui descend encore, appréciant le renflement de ses fesses. Haletante, elle arrive à le repousser :
— Non… il ne faut pas !
Il la ramène dans une zone éclairée et là, elle voit Martine, bouche contre bouche avec son cavalier. Paulo ricane :
— Tu vois, ta copine sait prendre du bon temps… elle !
Un deuxième slow fait suite au premier, tout aussi langoureux et là, elle aperçoit Martine qui se dirige vers la sortie de la salle avec son copain.
Paulo lui aussi a vu la scène. Il se penche sur elle et leurs lèvres se joignent sans cette fois qu’elle se soucie d’être ou non dans la pénombre. Le baiser est savant, l’exploration intense. Sa langue vient à la rencontre de la langue de l’homme ; mélange de salives. Il se régale de la fraîcheur de ces lèvres ...
... presque enfantines. Elle ne peut plus ignorer cette fois l’ampleur de la virilité qui se presse contre son ventre alors que la main droite flatte sa croupe, sa hanche, et descend sur le côté de sa cuisse. Elle se laisse faire. Ils sont au fond du dancing et la main de Paulo fait doucement remonter le tissu de la jupe. Elle se contorsionne alors et le supplie :
— Non… non… pas ici !
Il jubile :
— Viens, on sera mieux dehors, sur le parking…
Est-ce là encore la fatigue, le fait d’avoir dansé trop fort ou bien l’accumulation d’une trop longue frustration ? mais elle se laisse guider vers la sortie. Elle demande son gilet au vestiaire et il lui pose galamment sur les épaules. Ils sortent… l’air est plus frais… le halo de lumière de l’entrée, puis l’ombre. Dehors, des couples fument des cigarettes, d’autres parlent à voix basse. Martine a disparu.
Paulo la prend dans ses bras dès qu’ils sont parvenus dans le noir. Le baiser est savant, inquisiteur ; les mains expertes la palpent, derrière, devant. Elle s’accroche telle une naufragée aux épaules de l’homme. Une main descend, atteint le bas de sa jupe, remonte le long de la cuisse nue, épouse la hanche, contourne et arrive à la base d’une fesse. Elle supplie :
— Non… non, il ne faut pas !
Il la pousse doucement vers une voiture sombre. Il cherche rapidement dans sa poche ; le cliquetis d’une clé dans la serrure… la portière arrière qui s’ouvre. Elle se laisse pousser sur la banquette. L’homme s’installe à son ...