1. Le bal du samedi soir


    Datte: 03/01/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, inconnu, poilu(e)s, campagne, boitenuit, danser, hdomine, intermast, Oral init, prememois, initfh, occasion, Auteur: Jean-Paul60, Source: Revebebe

    Cela fait maintenant quinze jours que Jean-Paul est reparti vers sa caserne, à sept cents lointains kilomètres. Il est venu passer deux petits jours de permission, la première permission depuis qu’il a été appelé sous les drapeaux, et ces deux jours se sont passés en un éclair pour lui comme pour elle, Maryvonne, la douce fiancée.
    
    Il a été appelé voici trois mois à faire son service militaire ; il a 23 ans et bénéficiait d’un sursis pour études. Mais voilà, les études sont terminées et il a dû prendre en mars le chemin du régiment pour effectuer son devoir national durant plus d’un an.
    
    Tous deux se fréquentent depuis l’année dernière. Ils se sont connus lors d’un bal de campagne, comme il y en a tous les samedis et dimanches. Elle n’avait que 17 ans, mais travaillait déjà, employée comme vendeuse dans une boulangerie du chef lieu de canton. Ils se sont plus, et leur flirt a vite évolué en grand amour, bien qu’elle ait toujours refusé de lui céder, de peur de tomber enceinte d’une part, et par principe aussi, soucieuse de lui accorder le don de son corps pour la nuit de noces. Car ils ont parlé mariage et ont même décidé que cela se ferait à son retour de l’armée.
    
    Alors il ronge son frein, et là encore, durant ces deux jours de retrouvailles, elle n’a qu’en partie capitulé. Ils sont allés danser samedi soir et elle a passé la nuit avec lui, mais si elle a accepté ses caresses les plus osées, nue contre lui dans le lit, elle a réussi à maîtriser l’envie qu’elle ...
    ... avait de se donner.
    
    Il a obtenu au matin sa première caresse buccale, maladroite, mais preuve de son amour et gage d’autres caresses à venir. Lui-même s’est longuement occupé à lécher et sucer les deux seins en poire, le ventre, la brèche enfouie dans l’épaisse forêt de poils noirs, mais – maladresse de sa part ou précipitation – sans parvenir à obtenir la reddition qu’il attendait.
    
    L’après-midi du dimanche, après avoir salué la famille et avant de se rendre à la gare, ils sont allés se promener dans un petit chemin forestier et là, dans la quiétude de la frondaison, seulement bruitée par les chants d’oiseaux, elle lui a, à nouveau, prodigué une fellation, l’amenant à la jouissance, penchée sur lui tandis qu’il criait et lui maintenait le visage contre son ventre, l’empêchant de se soustraire à la tornade crémeuse, obligée d’accepter l’invasion de sa bouche par la semence un peu âcre. Après qu’il ait relâché sa prise sur sa nuque, elle s’est redressée, honteuse, le visage empourpré et s’est empressée de s’essuyer les lèvres. Mais contre toute attente, il l’a attirée contre lui pour un baiser profond et, malgré sa gêne, leurs langues se sont mêlées durant un long moment durant lequel la main de Jean-Paul s’est glissée sous sa jupe puis dans son slip, les doigts pénétrant dans la brèche du ventre, au milieu d’un véritable marécage et ressortant… écarlates, ses règles arrivaient !
    
    Elle s’est dit peu après, qu’à ce moment là s’il avait insisté, elle se serait donnée à lui ...
«1234...11»