1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (7)


    Datte: 02/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: bobby29, Source: Xstory

    ... temps en temps, il me claque une fesse, une cuisse. Je me mords les lèvres en gémissant, tout en regardant nos deux complices d’un air profondément lubrique. Eux aussi sont passés aux manœuvres internes. La femme s’est allongée sur la table, perpendiculairement à nous, l’homme est entre ses jambes et la pilonne brutalement. Je la regarde dans les yeux. Ses seins généreux ondulent au rythme des coups de boutoir. Nos jouissances s’additionnent. Plus elle crie, plus je sens Adonis, plus mon cul et mon vagin s’enflamment, plus je m’envole… Nous crions ensemble, nos hommes râlent, nos ventres se remplissent, nos orgasmes s’entremêlent…
    
    Je reprends doucement mes esprits. Adonis s’est retiré. J’ai toujours le derrière relevé. Les mains d’Adonis le caressent. Mais non, ces mains-là sont plus épaisses, plus massives… Je relève la tête. C’est l’Allemand qui se tient derrière moi ! Il me caresse les fesses, les cuisses, remonte vers mon entrejambe… Que dois-je faire ? Je crie ? Je le laisse faire ? Pourquoi Adonis le laisse-t-il me toucher ? L’Allemand me parle dans sa langue. Je parle couramment italien et espagnol et me débrouille en anglais, mais je ne comprends rien à cette langue ! Il a l’air de me dire des choses gentilles. Ses caresses sont agréables, sensuelles. Il ne touche pas ma vulve, il se rapproche, s’éloigne, tourne autour, s’attarde dans le doux creux de mes cuisses… Et sa femme, que fait-elle ? Je me tourne vers elle. Elle a mis le grapin sur Adonis cette coquine ! ...
    ... Elle est à genoux devant lui, sa queue entre les mains, sa bouche tente de ranimer le bel engin mais il a déjà beaucoup donné aujourd’hui mon beau pêcheur grec ! C’est pas gagné ! Toujours est-il qu’il se laisse faire ! Et il a l’air d’aimer ça. Bon ! Puisqu’on en est là…
    
    Je commence à montrer un accueil plus favorable aux caresses du nouvel admirateur de mon arrière-train. Ses mains s’attardent davantage dans les creux de l’aine, puis, sentant mes dispositions plus accueillantes, osent glisser un doigt entre mes lèvres. Il remonte vers mon clitoris, l’autre main honore toujours mes fesses mais s’aventure vers mon petit anneau… Mais non, je ne veux pas, pas là. Je le lui fais sentir et il abandonne aussitôt. Je sens son sexe, seulement à demi dur et qu’il manipule, se frotter contre mes lèvres. Son gland parcourt ma fente, titille mon petit éperon ultra-sensible. Je gémis doucement. Ses mains remontent maintenant vers mes hanches, poursuivent sur les côtés du buste et se posent sur mes seins. Il me redresse en pressant très sensuellement ma poitrine. Ses mains sont grandes, elles englobent presque tout un sein. Mes tétons sont gentiment pincés entre ses doigts. Je sens son souffle dans ma nuque. Il m’embrasse doucement. Entre mes cuisses, sa queue s’est bien durcie. Je la serre tandis qu’elle va et vient d’avant en arrière entre mes lèvres, rendant fou mon clitoris ainsi caressé par son gland épais. Je gémis de plus en plus librement. Il sent mon envie, mon sexe de plus en ...
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