Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (7)
Datte: 02/01/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: bobby29, Source: Xstory
... côtier, il fait le tour de l’île mais ça risque d’être beaucoup plus long.)
- Oh, I think we will take the road then. Thank you very much. (Oh, je crois que nous allons prendre la route alors. Merci beaucoup !).
Décidément ! Il fallait que ça tombe aujourd’hui ! Les premières personnes que je vois passer sur le chemin qui remonte vers la maison à part Adonis.
Je repars. Les deux Allemands me suivent. Je sens des regards sur mon postérieur ondulant, mes cuisses, mes seins. Ce n’est pas désagréable ! Je me dépêche d’entrer dans le jardin et de rejoindre la terrasse. Je les salue de la main en me retournant.
C’est la fin de l’après-midi. J’ai encore dormi. Sur la terrasse, à l’ombre de la treille. Toujours dans ma tenue d’Eve. Je sens le souffle d’Adonis sur ma peau ! J’entrouvre les yeux. Il est là, assis à même le sol près de mon transat. Nu lui aussi. Il me regarde, tout près de mon visage. Je lui souris. Il se penche vers ma bouche et m’embrasse. Je l’attire contre mon corps. Nous restons l’un contre l’autre, enlacés, échangeant quelques baisers. Sa jambe droite s’est glissée entre les miennes. Je sens son sexe sur ma cuisse. Petit à petit il se gonfle de désir. Sa cuisse remonte vers mon entrejambe, presse doucement mes lèvres qui s’entrouvrent. Sa bouche s’abaisse vers mes seins. Il les couvre de petits baisers, puis sa langue joue avec mes aréoles, excite délicatement mes tétons qui se dressent. Il les lèche, les suçote, les mordille, les tète de plus en ...
... plus franchement. Mes mains fouraillent dans sa tignasse brune, caressent ses épaules et son dos musclés. Sa verge est complètement érigée. Je glisse une main entre nos torses, vers son membre. Je le caresse lentement, puis je m’attarde sur ses bourses. Je les tiens précieusement au creux de ma paume. Je les caresse d’un doigt, les cajole. Ces tendres préliminaires s’éternisent. Nous sommes si bien, dans l’ombre brûlante de cette fin de journée.
Enfin, il glisse. Au creux de mes cuisses, sa bouche rencontre mes lèvres. Il me lèche. Tendrement, délicatement, amoureusement. Il parcourt mes creux et mes monts, déniche les moindres recoins sensibles. Il me connaît. Ses mains honorent mon buste, mes hanches, mes fesses. Il descend, couvre mes jambes de baisers, glisse du transat à mes pieds. Mes pieds. Il les caresse. Saisit mon pied droit, l’apporte doucement à ses lèvres. Il le lèche, le baise, toute la plante, du talon aux orteils. Mes orteils. Sa langue les lutine, ses lèvres les étreignent, les suçotent, de plus en plus avidement, longuement. Je deviens folle. Ma main gauche branle mon clitoris, pénètre mon con. La droite malaxe mes seins gonflés. De mon pied gauche je caresse son torse puissant, puis je descends vers son ventre tendu, je joue dans sa toison, écrase tendrement sa tige dressée, enfin ses précieuses petites pierres si chaudes, tout mon pied contre son sexe tendu…
Il me prend. Doucement. Tendrement. Entre mes cuisses. Sa queue sillonne mon vagin. Son torse ...