1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (7)


    Datte: 02/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: bobby29, Source: Xstory

    ... flotte. Je fais la planche, au milieu de la crique, les yeux fermés, depuis de longues minutes. Le soleil et les vaguelettes caressent mon corps, à présent presque uniformément recouvert d’un hâle léger après ces journées de nudité totale. J’aime sentir l’eau libre entre mes jambes, mes fesses, mes seins… Je crois que je ne pourrai plus jamais mettre un maillot pour me baigner !
    
    Le soleil est bien haut, il doit être près de dix heures. Il va falloir que je regagne la maison. J’ouvre les yeux et recommence à nager doucement. Encore quelques plongeons. Mes fesses encore jouissantes du corps d’Adonis sur elles, en elles, culbutent et s’offrent au soleil avant l’immersion. Je nage, j’explore les fonds paradisiaques de la crique, puis je rejaillis dans la lumière aveuglante. Finalement, je rejoins le rocher au pied de la falaise. Je reste encore quelques minutes assise, jambes allongées et le buste penché en arrière, offerte au soleil qui me sèche. Merde, j’entends des voix sur le chemin au-dessus de moi ! Je tourne la tête. Un homme et une femme, la cinquantaine, touristes en promenade, se tiennent au débouché de la faille sur le chemin. Sans doute voulaient-ils descendre… Mais ça me semble un peu trop escarpé pour eux. En attendant, ils profitent du spectacle ! Je n’y peux rien, alors je fais comme si je n’avais rien remarqué et je continue mon bronzage. La parisienne stressée et pudique est devenue une vraie nudiste décomplexée !
    
    Ils s’éloignent. Je jette de temps en ...
    ... temps un œil vers le haut de la falaise. L’homme, lui, a le regard aimanté vers mon rocher pendant qu’ils contournent la crique ! Au coude du chemin, avant de disparaître vers la maison, ils montent tous deux sur le rocher, face à moi, admirant la baie et, discrètement, mon corps épanoui dans le soleil blanc.
    
    Les touristes partis, je me dépêche de grimper vers le chemin. J’entends d’autres éclats de voix au loin derrière moi, visiblement un groupe de plusieurs jeunes gens. Merde, c’est un défilé aujourd’hui ! Ils ne sont pas encore en vue. Vite, je pars au pas de course pour rejoindre la maison. Mais je vais rattraper mes deux quinquagénaires ! Ils se sont encore arrêtés un peu plus loin, en contrebas du chemin qui remonte vers la maison, pour admirer la mer. Tant pis, je continue ! En passant près d’eux ils me saluent. En allemand. Ouf, les Allemands sont rarement gênés par la nudité. Je ralentis et réponds à leur salut en anglais.
    
    - Hello.
    
    - Excuse-me young lady, we would like to go to the port. Is it this way ? me demande la femme. (Excusez-moi, jeune dame, nous voulons aller au port. Est-ce par ici ?)
    
    - Yes, you have to take this path, up this little hill, and reach the little road just behind the top. Or you can stay on the coastal path, it goes all around the island but it will be far much longer i’m afraid. (Oui, vous devez prendre ce chemin qui grimpe la petite colline et rejoindre la petite route juste après le sommet. Ou vous pouvez rester sur le chemin ...
«1...345...8»