1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (7)


    Datte: 02/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: bobby29, Source: Xstory

    ... et le couvre de baisers. Il me plaque contre la paroi de marbre, je saisis son sexe et ses couilles en glissant ma main droite sans ménagement dans son slip de bain. Mon autre main tient sa nuque, nos bouches se battent, se dévorent. Sa main droite s’élance elle aussi entre mes jambes à l’assaut de mon sexe, l’autre s’est glissée entre mes fesses et la falaise. Il malaxe mes fesses, fouille avec dextérité ma chatte trempée, tandis que je branle sa longue queue, caresse ses testicules, mordille son cou, ses épaules… Il glisse un doigt vers mon petit orifice, tandis que trois autres pénètrent déjà de plus en plus violemment mon vagin grand ouvert… Oui, mon Adonis, vas-y, prends-moi comme ça, ouvre ton chemin… Il s’introduit doucement au creux de mon anneau serré et commence son ouvrage, de plus en plus loin, vite, fort… Je gémis, je lui parle, lui dis qu’il est mon homme, mon dieu, qu’il peut me baiser, me prendre comme il veut, m’enculer ! Son maillot gît au sol. Je tiens fermement sa verge tant désirée, je la caresse, je l’astique, je la sens gonfler, s’agiter vers mon corps, si tendue, la sève monter... Je me tourne, face contre la muraille blanche. Sa hampe se place immédiatement entre mes fesses. Il lèche et mordille mon cou, mon dos, mes épaules, puis descend le long de ma colonne vertébrale. Je sens sa langue, ses lèvres, au creux de mes reins, sur mes fesses qu’il embrasse et croque à pleines dents. Puis il écarte mes deux lobes charnus et je sens son visage plonger ...
    ... dans ma vallée intime. Je bascule mon bassin, sa langue et sa bouche s’attardent sur ma rondelle étroite, la caressent, la titillent, s’y insèrent furtivement, de plus en plus fréquemment, puis descendent vers ma grotte où coule une source de plus en plus abondante… Je crie doucement, je feule, je gémis… Ses mains caressent mon ventre, mes seins, mon pubis. L’un de ses doigts s’attarde sur mon bouton tendu, va et vient entre mes lèvres… Ooohhh Adonis ! Prends-moi, viens, là, maintenant ! Il se relève. Sa queue glisse à nouveau entre mes fesses, un petit détour vers ma vulve, entre mes lèvres brûlantes, puis elle repart vers ma caverne étroite, où je l’attends… La voie est ouverte, elle glisse en moi, je sens sa bite dans mes entrailles… si profondément, si doucement, si fortement… Il parcourt incessamment mon cul, de plus en plus fort, loin. Les vagues de son corps déchaîné m’écrasent contre le mur de marbre brut. C’est une fusion marine et minérale, violente et caressante, puissante et lente… Ses mains sur mes seins et dans mon con, son souffle de plus en plus haletant dans mon cou, ses morsures, ses baisers, ses griffures… Oui, tu vois Eleni, il est en moi, de partout, il est à moi, il me baise, il m’encule, il me dévore, il m’aime !!!
    
    Je nage dans la crique. Adonis est parti, il était déjà tard, il devait y aller. C’est marché aujourd’hui. Quand je me suis retournée, après cet orgasme qui nous a emportés ensemble, Eleni non plus n’était plus sur le promontoire.
    
    Je ...
«1234...8»