Le transfert - Histoires de Sexe

Le transfert

... l’attention du chauffeur :

— Tu seras gentil de garder tes opinions pour toi.

Il grommela quelque chose et se concentra sur la route. Je regardai les rues, les magasins, les piétons qui nous regardaient passer ; comme si je découvrais le monde pour la première fois.

* * * * *

Amel se réveilla la première, lorsque les premières lueurs du jour pénétrèrent dans la chambre par les volets restés entrouverts. Elle se retourna dans les draps, contemplant Huang qui dormait encore. Aujourd’hui, ils avaient une réunion avec leur équipe. Sept personnes. Tous chasseurs de vampires, dont le seul but était de faire éclater la vérité une bonne fois pour toutes. Elle inspira profondément et se passa une main sur le visage.

— Bébé, chuchota-t-elle à l’oreille de son amant.

Il ne réagit pas, les yeux toujours fermés, trouvant la paix dans le sommeil. Oubliant les cauchemars qu’ils vivaient au quotidien.

— Bébé ?

Il plissa les paupières et grommela quelque chose d’inaudible. Les yeux de l’Algérienne se promènent sur le corps nu de l’homme. Désolée de devoir le tirer de la paix du sommeil, elle pouvait au moins faire en sorte de lui procurer un réveil agréable. Elle déposa sa main sur la poitrine, puis la fit descendre lentement le long du ventre. Amel se redressa et déposa un baiser au coin des lèvres de Huang. Il gémit mais ne se réveilla pas. Descendant lentement le long du torse qu’elle parsema de petits baisers, la jeune femme se retrouva face au sexe inerte et au ...

... repos. Avec lenteur, elle le prit entre ses doigts et le caressa lentement. Huang entrouvrit les yeux, encore dans les brumes du sommeil. Amel fit glisser sa langue le long de la verge encore molle, plusieurs fois.

— Hmmmm…

Elle leva les yeux vers le visage de Huang qui la regardait faire, un demi-sourire aux lèvres. Puis elle reporta son attention sur ce qu’elle était en train de faire. Ses lèvres vinrent se déposer sur les bourses, puis elle fit tourner sa langue autour, arrachant un gémissement plaintif à l’homme. Elle les prit alternativement entre ses lèvres et les suça lentement, puis traça un sillon du bout de la langue jusqu’au sommet du gland.

— Oui…

Elle prit la verge durcissante dans sa bouche et la suça lentement, caressant les couilles imberbes.

— Oui… c’est bon… Oh ! ma chérie…

L’homme, les yeux clos, la tête calée dans les oreillers, savourait la fellation de la jeune femme, le cœur cognant dans sa poitrine comme un marteau-piqueur. Amel sortit la verge de sa bouche, puis déposa sur le gland écarlate une grande quantité de salive, qui s’écoula lentement le long de la verge, pour finir sur les testicules gonflés. Puis elle déposa de tendres baisers le long du pénis.

— Ahh…

Enfin, elle le reprit en bouche et le suça longuement, en le masturbant. Huang ne tarda pas à se raidir et la prévint :

— Arrête, ça vient, ça vient…

Amel masturba vivement le sexe tendu et dur comme de l’acier, et soudain, des jets de sperme épais vinrent jaillir ...