Monsieur Paul et les peintres 2
Datte: 02/01/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Mectôtverseau, Source: Hds
... toi, tu savoures ! Il faudra absolument qu’on se revoie ! Dit Monsieur Paul.
Puis il se met à la défoncer, sans attendre de réponse, maintenant bien appuyé sur ses bras tendus
- Allez, je te baise ! Prends ça, goûte le bon sandwich ! Tiens ! Tiens !
Le peintre le laisse à son tour la travailler rudement, bien compressé dans le boyau culier.
- Oh putain je suis bien fourrée ! Je vous sens bien dans mes trous !
« Oh oui ! » Pense Monsieur Paul. Toi, avec ce « putain » explicite, il ne faudra pas te pousser bien fort pour te laminer dans une autre partie fine !
- Mets-toi debout ma poupée ! Lance-t-il.
En se disant à lui-même : Un autre plan de caméra savoureux pour que tu t’en délectes plus tard mon trésor.
Et on la positionne de côté pour la prendre, dans tous les sens du terme, en plein assaut lubrique.
Pour la finir, le pharmacien laisse son ami lui labourer les reins, de manière à suivre la montée de la jouissance dans ses prunelles captivées. Le dit ami ploie sur ses jambes, pointe son épieu sur la rondelle, et l’investit.
- Oh oui ! Souffle la donzelle.
A son tour, Monsieur Paul plie, puis remonte doucement pour l’éperonner.
- Ouiii !
- Voilà, délurée baiseuse ! Fais-toi bien ramoner ! Je veux t’entendre gueuler ! Tu vas nous asperger avec ce qui te reste de miel ! Goinfre-toi de nos grosses bananes !
La tirade l’ébranle, elle a les yeux qui chavirent, l’orgasme est proche ; et le sirop des deux hommes aussi.
Comme des ...
... métronomes, les belles bananes s’activent, chacune à leur tour, puissantes.
Odette a la tête en arrière sur une épaule du peintre, qui lui pelote les nibards, et « han » , un remplissage de cul ; suivi d’un retrait. Puis « han », un remplissage de motte de Monsieur Paul, qui lui ceint la taille fermement.
- Allez ! Plus vite jean-Jacques !
Puis à l’assaillie :
- Tu en veux de la bonne purée ?
Ils intensifient la monte ; elle geint.
- Tu veux te faire tartiner le minou et le troufignon avec du bon élixir, c’est ça ?
- Oui, donnez-moi de la bonne sève de pine ! Oui ! Oui !
Elle va juter ; ça vient ; sous l’intense matraquage, aidé du dialogue à mots cochons.
- Allez Jean-Jacques, on la crème !
Trois cris s’élèvent en même temps, longs, gutturaux.
Odette se prend de longs jets de semence brûlante tout en giclant de la foune.
Il faut l’aider à s’allonger, rompue qu’elle est par le traitement personnalisé qu’on vient de lui administrer. Et elle ne tarde pas à s’endormir.
Elle revient à elle un petit moment plus tard, en entendant des voix derrière le paravent. Elle a, elle trouve ça galant, un drap qui la recouvre.
- Il y a une …? Commence-t-elle en arrivant à la hauteur des deux hommes, assis à un bureau et visionnant un écran.
En fait, les voix qu’elle entendait venaient de celui-ci, et la sienne n’était pas en reste. Quant aux images, c’étaient celles d’une femme se faisant triquer de belle manière ; en l’occurance, elle.
Elle prit un ...