1. Une directrice austère qui cache bien son jeu


    Datte: 01/01/2021, Catégories: fh, fplusag, asie, hotel, boitenuit, voyage, Oral fgode, pénétratio, fdanus, portrait, Collègues / Travail Auteur: Surcouf14, Source: Revebebe

    ... bien senti le contact de ta poitrine sur mes cheveux, mais je pensais que c’était involontaire et que tu te rapprochais pour mieux voir mon écran et que tu ne te rendais pas compte de l’effet que tu me faisais. Puis, quand tu t’es penchée et que j’ai pu admirer de très près ta poitrine magnifique, je croyais que c’était moi qui étais un obsédé et que je n’aurais pas dû regarder de ce côté-là. Je peux te dire maintenant que quand je suis rentré chez moi, ma mère m’a dit que j’avais l’air bizarre. Je lui ai dit que tout allait bien, je lui ai annoncé mon prochain voyage en Chine et je suis monté dans ma chambre. J’avais les images de ta poitrine en tête et je me suis masturbé en me remémorant ces moments passés si près de toi. Je n’imaginais pas que tu avais eu les mêmes idées que moi en tête, si j’avais su…
    — Moi aussi en rentrant chez moi, je me suis jetée sur mes jouets et je me suis masturbée avec un de mes plus gros godes, m’imaginant que tu me baisais dans mon bureau. Mais ça, c’est du passé, maintenant et je compte bien maintenant profiter et abuser tant que possible de mon petit Serge chéri et de ses talents qui ne me sont plus cachés.
    — Tu peux abuser tant que tu veux, ma Louise adorée.
    
    Nous nous embrassons à pleine bouche et poursuivons notre journée de travail avec sérieux, enfin presque…
    
    Chaque soir du reste de notre séjour à Shanghai, nous nous sommes retrouvés dans la chambre de Louise qui m’a fait découvrir les délices de l’amour et d’une quantité de ...
    ... perversités que je n’avais pas encore imaginées du haut de mes vingt-quatre ans.
    
    De retour à Paris, nous poursuivons de plus belle notre relation.
    
    De temps en temps, mes collègues parlent de Louise en disant la « cheftaine », qu’elle a l’air totalement frigide la pauvre vieille et que sa cheminée aurait sûrement besoin d’un bon ramonage. Je ne fais pas de commentaires, mais je ris intérieurement en pensant à ses exploits et que ces « gentils garçons » n’auront certainement pas le droit de la part de leurs copines au quart de ce que m’offre Louise à chacun de nos ébats.
    
    Parfois, tard, quand tout le monde est parti, je fais l’amour à Louise dans les bureaux de l’entreprise. Elle sait s’y prendre pour m’exciter en me réclamant une petite « démo » et me pousser à la poursuivre pour se faire baiser, la poitrine appuyée sur la photocopieuse et la jupe retroussée, je lui baisse sa culotte et la prends ainsi en levrette. Parfois aussi, dans son bureau, je m’assois sur son siège, elle retire alors sa culotte, relève sa jupe et vient me chevaucher. Parfois encore, elle se faufile sous mon bureau et me gratifie d’une superbe fellation.
    
    Louise m’invite aussi souvent chez elle et continue à m’apprendre comment utiliser ses nombreux joujoux. Je suis un élève assidu, j’apprends vite et ma maîtresse a un sens inné de la pédagogie.
    
    Presque deux ans après mon embauche, un nouvel ingénieur tout frais moulu de l’école est embauché. Quelques semaines plus tard, je remarque que Louise ...