Une directrice austère qui cache bien son jeu - Histoires de Sexe

Une directrice austère qui cache bien son jeu

... l’autre.

Elle me dit en me souriant :

— Merci, Serge, de m’avoir ainsi honorée, tu as été parfait, le meilleur des amants.

Elle m’embrasse avec tendresse, rassasiée par ce moment d’amour et s’endort tout contre moi, la tête et ses longs cheveux blonds posés sur mon épaule.

Je n’en reviens toujours d’avoir séduit ma nouvelle directrice et d’avoir découvert en elle une maîtresse extraordinaire inventive, gourmande, idyllique. Rattrapé par le décalage horaire, je m’endors peu de temps après elle, un sourire sur les lèvres.

Au petit matin, je suis réveillé par le bruit de la douche dans la salle de bain, je tends instinctivement le bras, elle n’est plus là. Je suis à peine réveillée quand le bruit cesse. Je crois l’entendre se sécher maintenant. La porte s’entrouvre, j’écarquille les yeux et la vois apparaître en contre-jour dans l’embrasure de la porte. Je souris en voyant cette magnifique silhouette. Elle ouvre les rideaux de la chambre et me dit :

— Debout, Serge, il est l’heure, on a du travail !

Je resterais bien couché à lui faire l’amour, mais c’est elle la chef. Je lui réponds :

— Bonjour, Louise, tu es magnifique, tellement belle. Embrasse-moi, j’ai besoin de forces pour me lever.

Elle se précipite, se couche sur moi et m’embrasse tendrement.

— Merci, mon Serge, tu es adorable, me dit-elle. J’avais peur que tu aies l’impression d’avoir fait une bêtise hier soir. Je ne veux pas que notre différence d’âge te gêne. Tu sais, c’est la première ...

... fois pour moi que je suis séduite par un homme de ton âge.
— Quelle différence ? lui dis-je. Tu es une femme parfaite, un corps de rêve, un visage on ne peut plus agréable à regarder. Tu es la plus belle femme que j’aie jamais eu l’occasion d’aimer.
— Alors tant mieux !

Elle me refait un gros bisou et se lève, pour s’habiller. Je la vois mettre une très belle culotte en dentelle nacrée et un soutien-gorge assorti. J’ai l’impression d’assister au tournage d’une publicité pour Aubade. Je vois que les jouets ne sont plus sur la table de nuit et je lui en fais la remarque.

Elle me répond :

— Oui, je les ai rangés pour qu’ils ne prennent pas la poussière et je ne tiens pas à ce que la femme de ménage tombe dessus.

Puis, en riant, coquine, elle file dans la salle de bain pour finir de se préparer.

Je me lève et je vais me préparer à mon tour. Je prends une bonne douche qui finit de me réveiller et me fait le plus grand bien. J’enfile un peignoir et je file dans ma chambre pour récupérer des affaires et m’habiller.

Nous convenons de nous retrouver au petit déjeuner. À peine installé, Louise me rejoint à nouveau déguisée en directrice avec son célèbre tailleur démodé, son chignon et ses grosses lunettes.

Alors que nous nous restaurons, je lui dis :

— Ne le prends pas mal, Louise, mais pourquoi t’habilles-tu comme cela ?
— Quand j’ai commencé à travailler, Serge, je m’habillais beaucoup plus librement, voire de manières assez sexy. Rapidement, je me suis rendu ...