La petite robe dans la vitrine
Datte: 31/12/2020,
Catégories:
fhh,
hagé,
inconnu,
essayage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
couple+h,
Auteur: Pazapa, Source: Revebebe
... la pince aux aisselles, mais cette fois-ci le contact de ma main avec sa peau est plus appuyé, et je laisse aller mes doigts sous le tissu bien plus loin que ne l’’impose la couture. Elle ne régit pas, si ce n’est par un petit frisson.
— Oh, faites attention, vous me chatouillez.
Je glisse ma main plus loin, frôlant son sein.
— Là aussi ça vous chatouille ?
— Ouiiii, minaude-t-elle,
J’empaume carrément son sein en me pressant contre elle,
— Et comme ça ?
— Mmmmouiii.
Nous avons franchi la barrière de la bienséance, je colle mon ventre contre ses fesses et prends ses seins de mes deux mains. Je les presse, je les pince, je les masse et les malaxe tout en faisant rouler ma queue bandée contre le haut de ses fesses.
— Vous aller faire sauter les épingles, ce serait dommage, dit-elle en s’écartant de moi.
— Je vais vous aider à retirer la robe.
Elle ne répond pas mais « qui ne dit mot consent », je prends le zip qui ferme la robe dans le dos et commence à le faire descendre. Quel spectacle merveilleux, sa peau se découvre dans le triangle qui s’écarte et s’élargit en me dévoilant presque la naissance de ses fesses. Elle se laisse faire en silence quand je lève son bras pour retirer la bretelle, puis l’autre. À chacun de mes gestes, je laisse ma main tutoyer sa peau dorée. La robe glisse jusqu’à la taille. Je me recule pour l’admirer.
— Tu es très belle…
Je saisis le tissu pour lui faire passer la courbe des hanches tout en m’accroupissant ...
... pour accompagner le tissu dans sa chute impudique. Ma tête se trouve au niveau de son ventre à peine voilé par un triangle de dentelle diaphane. Elle lève une jambe pour se dégager du vêtement. La finesse du tissu de son slip révèle son sexe totalement épilé. Je pose ma bouche contre son mont de vénus pour un baiser furtif.
Je me relève.
— La retouche sera prête pour quand ?
J’en reste bouche bée, elle remet son jean rapidement sans me laisser le temps de réagir, son T-shirt fait disparaître aussi ses jolis petits seins.
— Après-demain en fin de journée.
— Je paie tout de suite ?
— Non, non, vous paierez samedi en reprenant votre robe.
— Excuse-moi, dit-elle en souriant, je préfère réfléchir… pas pour la robe mais pour le reste. Vous m’ouvrez la porte ?
— À samedi ?
— À samedi.
Le samedi, j’attends avec impatience la fin de l’après-midi et l’arrivée de ma jolie cliente.
18 h 30. Elle n’est pas encore passée, sans doute attend-elle la dernière minute, juste avant la fermeture.
18 h 45. Toujours personne ! Quand je pense que je ne l’ai pas fait payer d’avance, si elle ne vient pas je perds sur tous les tableaux…
18 h 55. Un homme entre dans la boutique. Il porte avec prestance une soixantaine bien sonnée, cheveux gris, une tenue qui se veut décontractée mais soigneusement étudiée. Un artiste peut-être ?
— Bonjour, Monsieur, je viens chercher la robe de Madame Iomescus. La retouche devait être faite pour ce soir.
— En effet, Monsieur, elle est ...