1. Un petit souvenir issu de ma Manche...


    Datte: 29/12/2020, Catégories: fhh, inconnu, magasin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, confession, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... caresser ses lèvres dégoulinantes. Elle frémit d’aise. Vivement intéressé, son homme me fait signe de continuer. Incité, je m’enhardis, et pour toute réponse, sa femme écarte délibérément les cuisses afin de me faciliter la tâche.
    
    Alors, y allant de bon cœur, je commence à la branler doucement, plongeant petit à petit quelques doigts en elle, tandis que mon index câline son clitoris détrempé, puis j’accélère sans pitié le rythme. Je veux la voir jouir sous mes doigts, la chatte toujours remplie du sperme de son mari, sa bouche ayant encore des traces du mien. Elle se tortille sous ma douce torture, haletante, gémissante, palpitante, sous l’œil amusé de son mari. Mes doigts dansent dans sa fente, virevoltant sans relâche avec grâce. Puis, se raidissant, elle cède, jouissant dans plein de petits cris étranges, désarticulés, incongrus.
    
    Puis haletante, épuisée, avachie, elle s’affale impudiquement sur les sièges, peu soucieuse de l’étrange position qu’elle offre à mes yeux, la chatte luisante encore plus en évidence. Malgré ce beau spectacle salace et un tantinet vulgaire que je contemple sans retenue, je me trouve un peu embêté par mes doigts empoissés de ce mélange de cyprine et de sperme. Amusé par mon embarras, l’homme me dit de m’essuyer carrément sur les fesses bien évidence de sa femme. J’hésite un peu, puis je m’exécute ; elle ne bronche pas, toujours perdue dans les spasmes de sa jouissance.
    
    — Et c’est vous qui vous targuez d’être un gentleman ?
    — On va dire ...
    ... que ce fut une petite fantaisie, avec l’aval du mari…
    
    Puis, quelques instants plus tard, elle s’essuie, puis elle se rhabille devant moi, sans aucune honte, sans aucune pudeur, le tout sous l’objectif de son mari. Et voilà, c’est fini, il faut se séparer. Étant d’une nature polie, je les remercie chaleureusement pour ce bon moment improvisé, ils me remercient eux aussi, toujours dans leur accent. Suite à ma question, c’est celui de l’Est, me précise l’homme. À ma grande surprise, sa femme, dont j’ignore toujours le prénom, se penche sur moi, et dépose un baiser sur ma joue :
    
    — Merci, cher voyeur !
    — Pas de quoi, belle Dame coquine et exhibitionniste ! Ce fut un plaisir ! Puis-je me permettre une dernière chose ?
    — Dites toujours…
    — Je peux vous embrasser entre les seins ?
    
    Elle sourit, elle ouvre complaisamment son chemisier. Je plonge mon nez avec délectation dans son corsage, déposant deux baisers bruyants sur ses deux seins. Un vrai délice que ces masses toutes tendres délicatement molles et chaudes !
    
    Puis quand, heureux, je relève la tête, chemisier toujours largement ouvert, elle s’adresse à son homme, lui disant qu’il faut y aller, que la route est longue. Ce qu’ils font aussitôt. Je regarde leur voiture s’éloigner. Puis quand elle n’est plus qu’un simple point au lointain, je me décide à revenir à mon véhicule. Je sais que je ne les reverrai plus, ils étaient seulement de passage par ici, et maintenant, ils retournent chez eux, loin d’ici, loin de ma Manche ...
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