1. Un petit souvenir issu de ma Manche...


    Datte: 29/12/2020, Catégories: fhh, inconnu, magasin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, confession, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... mon envie !
    
    — Une belle salope !
    — Tss-tss, on ne dit pas du mal des femmes qui nous offrent tant de plaisirs. Soyons gentlemen ! Sauf si, parfois, en effet, le mot « salope » est un éloge.
    
    Quelques instants plus tard, alors que j’étais doucement arrivé à ma limite, le mari me fait signe de m’approcher. Je me demande bien ce qu’il a en tête. J’ose espérer que c’est pour profiter des bonnes dispositions de sa femme, mais je n’en suis pas sûr. À peine, suis-je arrivé près de ma charmante inconnue, qu’elle s’empare avec un naturel désarmant de ma bite toujours bien raide et dressée, et après quelques caresses, sous l’objectif de son mari, elle pose ses lèvres sur mon mâle engin. J’en frémis d’aise, rassemblant toute ma concentration pour ne pas éjaculer tout de suite !
    
    Néanmoins, j’en profite pour lui peloter les seins par-dessus son chemisier. Elle a la poitrine un peu languissante, ce qui n’est pas désagréable. J’adore tripatouiller les chairs un peu molles, il y a nettement plus de choses à faire avec cette élasticité légèrement pâteuse qu’avec une poitrine trop ferme, sans parler du plaisir subtil de sentir ses doigts s’enfoncer doucement dedans, comme dans un bon gâteau.
    
    Durant ce temps, elle me suce langoureusement, et croyez-moi, il est flagrant qu’elle avait une certaine expérience de la bite des hommes. C’est trop bon, trop suave, trop moelleux ! Je baigne dans une douce quiétude, ma queue entre ses lèvres et mes mains en pleine prise de seins mous et ...
    ... doux. Un premier spasme survient, incontrôlable, et à mon grand désespoir, je glisse sur la grande pente, ne sachant plus à quoi à me raccrocher. Je jouis sans retenue, inondant sa bouche.
    
    Après avoir faiblement récupéré, afin de ne pas passer pour un goujat de la pire espèce, je m’excuse auprès de ma belle suceuse :
    
    — Désolé… mais vous êtes si douée…
    
    Elle ne dit rien, me souriant, ses lèvres encore luisantes de mon sperme. Son mari me place l’appareil photo dans les mains ; je comprends que c’est à mon tour de jouer les photographes. Et quelque chose me dit que sa femme va pouvoir profiter de l’évidente bonne forme de son mari. D’une façon impérative, dotée d’une pointe d’accent, il lui demande de se mettre à quatre pattes sur le siège de la voiture, me laissant admirer un adorable cul tout nu bordé plus bas d’un abricot de la plus belle espèce !
    
    Puis il la prend en levrette, tandis que je mitraille ce couple en train de baiser sous mon nez. Il la pistonne à coups de grands mouvements de bassin, claquant son bas-ventre sur ses fesses. Elle gémit doucement sous ses coups de boutoir. J’en profite pour prendre quelques gros plans de leurs sexes humides et encastrés. Puis à son tour, il jouit, au plus profond, bien emboîté en elle, comme soudé. Léonin, il se secoue comme pour expulser ses dernières perles de sperme.
    
    Puis il retire, son sexe déjà mollissant, libérant une chatte luisante. Peu après, du sperme s’en échappe lentement. Mû par une impulsion subite, j’ose ...
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