Un petit souvenir issu de ma Manche...
Datte: 29/12/2020,
Catégories:
fhh,
inconnu,
magasin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
confession,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... plutôt, surtout quand on ne s’y attend pas. Mais rien que la vision d’une bande de chair blanche entre les deux bandes noires d’une culotte, ça vous travaille drôlement.
Avant que je ne revienne de ma surprise, elle est déjà au bout du rayon. Nous recommençons, elle penchée, moi accroupi, je découvre alors avec ravissement des lèvres intimes parfaitement glabres par la fente du tissu. Mignonne fente de chair entraperçue entre la fente d’un tissu sombre, étonnant contraste. Vision ô combien paradisiaque, l’un des summums de ma carrière de voyeur ! Un énorme coup de chaud et une bandaison d’enfer !
Mais quand on est au sommet d’une montagne, il faut en redescendre. Mon couple se dirige maintenant vers les caisses. Malgré mon panier incomplet, je passe aussi, puis je les suis à distance respectueuse. Dans le hall, de temps à autre, l’homme regarde derrière lui. Sur le parking, une petite brise fait voler sa jupe, et découvrir à nouveau ses belles jambes aguichantes. Rêveur, je songe alors à ce que j’ai découvert par-dessous et plus haut…
— Belle fin d’histoire sur cette image de jupette qui vole sous la brise…
— Qui vous dit que c’était fini ?
Après un dernier sourire de mon inconnue, leur voiture démarre. Mais elle ne semble pas pressée de partir. Je cours à la mienne, et je les suis à travers la zone commerciale. Pas bien longtemps, puis que leur voiture s’arrête un peu plus loin, dans une partie nettement plus déserte. Je me gare quelques mètres derrière eux. Je ...
... n’ai pas longtemps à attendre, le mari sort de la voiture, appareil photo en main. Il me fait signe d’aller me poster sur le côté, pas trop loin de la portière passager. J’obéis.
Celle-ci s’ouvre sur sa femme, assise à présent au bord du siège, jambes toujours gainées de leurs bas noirs, mais largement écartées sur une absence totale de jupe et de culotte !
— Vous affabulez, là ! Pas possible !
— Pas du tout ! Je reconnais sans problème que ce genre de bonne fortune n’arrive pas souvent, mais quand on a la chance d’être présent, on en profite, car on sait qu’il faudra attendre un bon bout de temps avant qu’être à nouveau spectateur d’une telle chose.
Il la mitraille, debout, incliné, accroupi, ne perdant aucune miette de ses minauderies face à l’objectif. Moi, debout derrière lui, à deux mètres maximum, je n’en perds pas non plus une seule miette, bandant comme un damné, d’autant que l’homme se décale, me laissant une vue imprenable entre des cuisses accueillantes et surtout un mignon abricot glabre. Il y a des spectacles qui vous marquent !
N’y tenant plus, je fais prendre l’air à ma queue qui est raide comme un gourdin et à me caresser. Mon exciteuse le remarque, elle fait signe à son homme de s’approcher. Celui obéit, et dès qu’il est à sa portée, elle ouvre lentement, posément sa braguette pour en extirper un mandrin de fière allure qu’elle met aussitôt en bouche, tout en me regardant fixement. Elle le suce longuement, suavement, sensuellement. Ce qui décuple ...