Incarcérée
Datte: 29/12/2020,
Catégories:
ff,
gros(ses),
fdomine,
Oral
69,
fgode,
uro,
initff,
Auteur: Junon, Source: Revebebe
... tu en veux plus, ma cocotte, à toi d’exprimer tes désirs…
J’ai pensé à cette phrase toute la journée. « Exprimer mes désirs », j’avais une furieuse envie de me donner à elle. Cette journée me sembla bien longue. J’attendis le soir avec impatience, je ressentais des désirs troubles et des envies pressantes. J’ai écourté la visite au parloir au maximum, mon mari me demanda ce qui se passait, ce qui n’allait pas, il trouvait que j’avais changé. Je savais qu’il avait raison, maintenant j’aimais les femmes mais ça je ne pouvais pas lui dire.
Ensuite, j’ai tourné en rond dans la cour de promenade. L’image de Monique debout devant mon lit qui m’intimait l’ordre de la lécher me revenait sans cesse en tête. J’avais éprouvé du plaisir à être dominée par cette grosse bonne femme. Je la revis aussi assise sur les toilettes. Elle m’aurait demandé de l’essuyer avec ma bouche, je crois que je l’aurais fait. Assise sur un banc à l’écart dans la cour de promenade, je fermais les yeux et m’imaginais près d’elle à côté des toilettes. Je lui nettoyais la vulve, des gouttes de pipi s’en échappaient, elle me présentait ses fesses, c’était écœurant mais je le faisais quand même…
Je filais vraiment un mauvais coton. Au début de notre mariage, nous avions joué à des jeux uro avec mon mari, dans la baignoire, mais cela faisait des années que nous ne le faisions plus. Mais là, avec Monique, c’était différent, c’était beaucoup plus l’envie d’être totalement soumise à son bon vouloir et à sa ...
... perversité.
Le soir venu, une fois seules dans la cellule, j’ai retiré mon pyjama et l’ai rejointe immédiatement sur sa couche. J’étais les seins à l’air, juste en petite culotte. Je n’aimais pas trop me montrer mais là, il y avait urgence, je n’avais que trop attendu. Elle m’accueillit à bras ouverts avec un large sourire de satisfaction.
— J’ai trop envie de toi, avouai-je, avec un grand soupir.
Mes mains caressaient déjà sa poitrine et cherchaient son sexe humide. J’avais envie de la voir nue et je lui fis comprendre. Elle retira sans hésiter sa liquette et m’attira avec elle sous le drap.
— Que veux-tu, me demanda-t-elle ?
— Je veux tout, répondis-je. Je veux que tu me caresses, je veux être toute à toi.
Elle me titilla les tétons avec sa langue, m’embrassa le ventre, puis se coucha sur moi. C’était tellement bon ! Nos lèvres se trouvèrent, nos baisers devinrent ardents. Je sentais sa main remonter fermement le long de mon ventre, puis jusqu’à mes seins érigés sous l’effet de l’excitation. Je sentais ses doigts malaxer vigoureusement mes mamelons. Ensuite elle m’écrasa de tout son poids. Sa grosse poitrine frotta un long moment contre mes seins. C’était tellement bon, tellement excitant…
L’image de ma maîtresse assise le matin même sur les toilettes me revint à l’esprit quand je me mis plus tard en 69 au-dessus d’elle. Elle sentait fort la pisse et je trouvais ça hyper-excitant. Je sentais ma chatte dégouliner d’envie, d’autant plus qu’elle l’excitait avec ...