1. La caméra espion 8


    Datte: 28/12/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Arsenne, Source: Hds

    ... oser me dire ce qu’elle a répondu ? Je sens sa main se crisper sur ma queue, comme pour affirmer son emprise.
    
    « - Oui, Philippe.
    
    - Tu es une bonne petite. Lève un peu ton bras pour montrer tes nichons à mon pote.
    
    C’était trop, les larmes de honte me montaient aux yeux, mais ce salaud savait que cela m’excitait davantage. Le whisky commençait à faire son effet. Je me sentais en même temps bien, légère complètement désinhibée. Lentement sans me retourner j’ai soulevé le bras du côté du garçon pour lui offrir de voir ma poitrine nue dans la large échancrure du teeshirt. Le gars est resté quelques secondes à mater avant de s’éloigner.
    
    Mon amour, plusieurs fois tu as exhibé mes seins, à chaque fois c’était toujours aussi excitant pour moi de me savoir désirée. Mais cette fois c’était encore plus fort sans vraiment savoir pourquoi.
    
    Je reste sans voix. Ces aveux dépassent tout ce que j’avais imaginé. Ce type tenait bien ma Chantal sous son emprise et lui ôtait toute volonté. Et ce soir, elle me racontait en détail et sans états d’âme, son abandon à son amant. Je bandais toujours aussi fort et cela la rassurait et en même temps l’encourage à continuer.
    
    « Il m’a demandé de régler les boissons, suprême offense, se conduisant comme le maître, le propriétaire. Une humiliation de plus ! Il a annoncé que nous partions chez lui. Panique. Il habite près de chez Jacques ! Devinant ma peur il me dit que Jacques et Annie étaient absents. Je n’en reste pas moins inquiète. Il ...
    ... a gardé ma veste, je me suis levée consciente que mes fesses allaient être visibles pour toute la salle. La tête me tournait mais je n’étais pas que simplement étourdie par l’alcool.
    
    - Je vais te baiser comme une chienne dit-il tout haut, avant de sortir du bar.
    
    J’ai juste eu le temps de voir des sourires grivois parmi certains clients du bar. On est allés chez lui avec sa voiture. Il m’a fait enlever mon débardeur et rester seins nus pendant tout le trajet. Arrivés devant chez lui, il m’a juste rendu ma veste et gardé mon haut.
    
    - Laisse-la déboutonnée, on ne sait jamais, une connaissance, un voisin serait sans doute content de te voir ainsi les nichons à l’air.
    
    Ses mots vulgaires, je les aimais, ils m’étourdissaient.
    
    J’avais peur car si on me voyait, cela pouvait venir à tes oreilles. Pour autant, j’ai obéi sans hésiter. On a dû marcher car il avait garé sa voiture assez loin. Heureusement nous n’avons croisé personne. Dans l’ascenseur, il m’a demandé d’enlever la veste et de rester nue comme dans l’auto. A l’étage, un voisin pouvait sortir et me voir. Tout cela me troublait. J’avais hâte d’être chez lui et qu’il me baise, je n’en pouvait plus d’attendre. »
    
    Cette fois, j’en étais sûr, ma femme ne voulait plus me ménager. Elle se frottait contre ma cuisse et je sentais qu’elle mouillait abondamment. Après un court silence elle me dit, tout en poursuivant sa douce caresse sur ma bite pour la maintenir en érection :
    
    - Je viens de comprendre que ça m’excite ...