1. La caméra espion 8


    Datte: 28/12/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Arsenne, Source: Hds

    ... encore de ses paroles.
    
    - Je suis certain, ma chérie, que tu mouilles déjà ! La nuit va être chaude, mais prend une petite veste, il risque de faire frais au petit matin.
    
    Je compris qu’il avait l’intention de me faire découcher. Cela m’angoissait car je ne pourrais pas répondre quand tu me téléphoneras, comme c’est l’habitude tous les soirs quand tu t’absentes. Tu aimes bien qu’on se parle. Ça aussi il le savait car il me conseille de mettre notre ligne fixe en dérangement et de ne pas oublier mon portable.
    
    A 20 h, je rentre dans le bar. Je suis morte de trouille. Ma veste est à peine plus longue que ma jupe ce qui fait croire que je ne porte rien en dessous. Plusieurs types m’ont sifflé dans la rue.
    
    J’étais déjà toute excitée, soumise, sans plus aucune volonté. Cet homme est le diable en personne. Il suffit qu’il me regarde pour que je succombe. »
    
    Nouvelle pause. Toujours dans l’attente d’une réaction. Elle s’empare doucement de ma bite encore dressée et, comme rassurée, elle poursuit. A ce moment je commençais à me demander si je ne devais pas réagir et sortir ma femme de l’emprise de ce type.
    
    « De loin, il m’a fait signe sans aucune discrétion, de venir le rejoindre à sa table. Il a parlé très fort pour bien attirer l’attention des clients du bar sur moi. Je sentais les regards me déshabiller, j’avais honte et en même temps je mouillais. J’avais les jambes qui tremblaient, mes muscles étaient tendus. Je crois que j’ai failli jouir au milieu de la salle. ...
    ... Il m’a fait asseoir en face de lui, dos à la salle. La chaise sur laquelle je me suis assise était en bois comme bien souvent et le dossier était ajouré, une seule traverse au niveau de mes épaules. Toujours d’une voix forte il m’a dit :
    
    - Tu aimes montrer ton cul non ? Alors maintenant, tu vas relever ta jupe et t’asseoir à même la chaise. Doucement !
    
    Il souriait l’air vicieux et satisfait. J’étais à sa merci et il le savait bien. Toute la salle avait dû entendre son injonction, mais au lieu de m’accabler, cela m’excitait encore plus. Je sentais tous les regards portés sur moi.
    
    Ce fut facile avec ma jupe portefeuille. Rouge de honte, je n’ai pas hésité une seconde. J’ai juste soulevé légèrement mes fesses pour ne pas risquer l’attentat à la pudeur et j’ai dégagé mon cul. Le froid du bois me fit frissonner. Il m’a demandé ensuite d’enlever ma veste. Je comprenais la raison : montrer alentour que j’étais cul nu. Une fois ôtée, il me l’a prise. Je savais que derrière mon dos, on regardait mon cul nu ! J’étais sans réaction.
    
    Nous avons consommé, il a commandé pour moi un double whisky. Sans doutes pour diminuer mes facultés de révolte, si tant est que j’en aie encore. Le garçon, que Philippe appelait par son prénom, est venu nous servir avec un sourire qui en disait long, partagé entre l’envie de mater et celle d’éviter le scandale.
    
    - Elle est belle hein ? Elle est mariée et adore faire cocu son minus. Hein Chantal ? »
    
    Elle fait à nouveau une pause. Va-t-elle ...