1. Naissance d'une addiction


    Datte: 29/04/2018, Catégories: f, jeunes, Voyeur / Exhib / Nudisme init, confession, Auteur: Paulinette89, Source: Revebebe

    ... une puissante vague d’excitation me traverse.
    
    Voilà quelques nuits maintenant que je répète le même rituel : je me lève au milieu de la nuit et je me balade à poil dans le jardin, devenant de plus en plus aventureuse à chaque fois. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre qu’il va falloir que je pousse les limites plus loin si je veux me tester et savoir jusqu’à quel point je peux aller sans pouvoir accéder facilement à mes vêtements. Je veux dire, difficile d’aller très loin dans un jardin pas vrai ?
    
    Je m’aventure à la limite du grand champ qui borde la maison et observe la maison de notre voisin le plus proche. Je ne connais pas vraiment les gens qui habitent là, mais je les imagine regardant dans ma direction par la fenêtre, je suis nue dans la lueur de la lune.
    
    En réalité je suis beaucoup trop loin pour qu’ils puissent m’apercevoir, mais ça me fait frissonner de plaisir quand même. Je tente de faire quelques pas dans le champ mais je dois vite abandonner et retourner sur la pelouse. Le champ est plein de mauvaises herbes, herbes hautes et de cailloux coupants, ce n’est manifestement pas une très bonne idée d’essayer de passer sans chaussures. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai l’impression que mettre des chaussures c’est comme tricher à mes propres règles. En plus de ça, la chambre de mes parents et celle de ma sœur donnent sur le champ, donc il y a une chance mince que l’un d’eux m’entende et m’aperçoive si je tente de traverser.
    
    Bon le champ ne semble pas ...
    ... être la bonne option, je me retourne et regarde dans la direction opposée, vers le parc. De l’autre côté de la rue j’aperçois trois camping cars et deux caravanes stationnés dans la zone réservée et je devrai passer par là si je veux aller dans le parc.
    
    Une fois là bas, qui sait qui peut se promener dans le parc ? Et une fois le parc traversé, il y a toute la ville derrière. Si je veux vraiment voir jusqu’où je peux aller, je sais que c’est par là que je dois aller. Mais je ne peux honnêtement pas aller par là, enfin je ne pense pas. C’est beaucoup trop risqué, et je sais que je ne suis pas prête, et que je ne serai probablement jamais prête à faire ça.
    
    Il faut néanmoins que j’aille plus loin. Je me faufile alors sur le côté de la maison et passe une tête sur le devant. Il y a encore un bon bout de jardin de ce côté-ci, la grille est assez large et basse et ne cache pas grand chose ce qui rend l’exercice de passer ici assez périlleux, en tout cas beaucoup plus risqué que derrière la maison. Au milieu de cet espace, il y a notre vieux noyer, et un peu plus loin encore sur la droite le garage. La nuit est claire, et la lune presque pleine ce soir, autant dire qu’on y voit plutôt bien. Je me fixe mentalement un objectif : je vais jusqu’à l’arbre et je reviens ici.
    
    Le noyer est à environ dix mètres, je pique un sprint, touche le tronc, et retourne à toute vitesse vers mon abri relatif sur le côté de la maison. Je regarde aux alentours à la recherche du moindre signe que ...