1. Naissance d'une addiction


    Datte: 29/04/2018, Catégories: f, jeunes, Voyeur / Exhib / Nudisme init, confession, Auteur: Paulinette89, Source: Revebebe

    ... que je suis dans un tel état pour quelque chose qui peut sembler si anodin. Je n’ai pas de repères, pas d’expérience, ce genre de comportement est totalement nouveau pour moi.
    
    Je suis toujours plus ou moins à l’abri derrière le cabanon, gloussant comme une cruche, ma culotte à la main. Je passe la tête de temps en temps pour surveiller ce qui se passe, je trouve ça terriblement excitant. La maison est plongée dans le noir et aucune des chambres ne donne derrière, il n’y a donc aucun danger qu’un membre de la famille ne m’aperçoive à moins de franchir la porte. De plus en plus audacieuse, je retourne à pas de loup et les fesses à l’air vers la tente et me glisse à l’intérieur.
    
    Il est trois heures du matin, je suis couchée sur mon sac, et impossible de nier, je suis terriblement excitée. La vache ! Je n’ai jamais ressenti quelque chose de semblable, et je n’ai qu’une envie : retourner dehors et continuer cette expérience. Je me glisse dehors, laissant ma culotte derrière moi mais portant toujours mon débardeur. Je m’assois devant la tente pendant quelques minutes, mes sens attentifs à tout ce qui se passe dehors, j’essaie de trouver le courage de le faire. Enfin j’y arrive, je passe mon débardeur par dessus ma tête et le jette dans la tente. Putain, ça y est, je suis toute nue dans le jardin.
    
    Je regarde mes seins et ma chatte, essayant de réaliser que je suis dehors et que quelqu’un pourrait me voir. Quelle impression ça fait ? Bien sûr, il n’y a quasiment aucune ...
    ... chance que ça arrive, je suis planquée derrière ma tente, dans le jardin et au milieu de la nuit. Et alors ? Même cette infime probabilité m’excite plus que ce que je n’ai jamais imaginé. Je reste là un temps qui me parait infini, parfait. Je dois me résigner à regagner ma tente pour aller dormir un peu, mais je sais d’ores et déjà que je retenterai demain.
    
    La nuit suivante, j’ai du mal à attendre l’heure du coucher. Finalement je me glisse dans mon sac de couchage et m’endors d’un sommeil agité, attendant les premières heures du matin pour me lancer à nouveau dans l’aventure. En étant allongée, une idée me tourne dans la tête sans arrêt : je me demande jusqu’à quel distance je suis capable de m’éloigner de mes vêtements ?
    
    Enfin l’heure de l’action arrive. Je me glisse hors de la tente et m’assois quelques minutes au même endroit que la nuit dernière. Je surveille mon environnement et tente de trouver le courage de quitter ce qui est déjà devenu ma zone de confort. Ça me prend quelques minutes d’un combat interne avant que je sois capable de me lever et de faire quelques pas. Je me déplace lentement, m’arrêtant après quelques pas pour observer et écouter attentivement le moindre bruit qui pourrait révéler la présence d’un intrus.
    
    Après un bon moment, je commence à m’imaginer que je suis en fait au milieu d’une ville en pleine lumière, avec des dizaines de personnes choquées autour de moi, qui observeraient le moindre centimètre de mon corps dénudé. Rien que d’y penser, ...